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Khalifa Sall : Une demande de « liberté d’office » introduite

POLITIQUE
Vendredi 18 Août 2017

La bataille de procédure, dans l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar, s’intensifie. Les avocats de la défense ont introduit, ce jeudi, une demande de liberté d’office pour Khalifa Sall.
 
Les résultats définitifs des élections législatives du 30 juillet dernier, annoncés par le Conseil constitutionnel constituent une arme pour la défense de Khalifa Sall constitue la principale arme des robes noires.
 
« Khalifa Sall est devenu officiellement député, selon le Conseil constitutionnel dans l'annonce des résultats définitifs des élections législatives du 30 juillet dernier. Le juge d'instruction ne peut plus le maintenir en détention sous peine de violer son immunité parlementaire », déclare Me Ciré Clédor Ly.
 
Dans un long texte repris par le quotidien  L'Observateur, Me Ciré Clédor Ly et compagnie reviennent sur le traitement de leur client pendant la campagne électorale et le jour du scrutin et les différents recours introduits jusqu’ici. Les robes noires en ont aussi profité pour  descendre en flamme les autorités judiciaires et étatiques qu’ils accusent de « piétiner  sciemment les droits de leur client et délibérément ignoré la loi ».
 
« Nous avons toujours dit que la détention de Khalifa Sall relève d'une volonté politique. Ce n'est pas un cas judiciaire. (...) Cette séparation de pouvoir n'existe pas (Ndlr : au Sénégal). On voit comment la justice marche. L'Assemblée nationale aussi, on voit comment elle a toujours marché. Donc, qu'on ne se leurre pas. Mais cela ne nous empêche pas, en tant que citoyen de leur mettre en face de leur responsabilité", disent-il dans le texte. 
 

Les conseils de l’édile de la capitale sénégalaise n’excluent pas de porter l’affaire devant le comité des Nations unis sur les droits de l’homme.
 
« Tous ces manquements et violations, relèvent de la compétence du Comité des Nations Unies sur les droits de l'homme », notent-ils. 

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