À l’en croire, « visiblement, il a impérativement besoin du ralliement du PDS pour bénéficier de notre force de frappe électorale pour justifier le vol du scrutin de dimanche et se déclarer vainqueur au premier tour de l’élection Présidentielle du 24 mars 2024 », laisse entendre Karim Wade.
S’adressant aux autres responsables du Pds, il s’interroge. « Devons-nous accepter ce crime contre notre démocratie et être les complices de ce coup d'État électoral et de ce simulacre d’élection présidentielle ? La réflexion continue… », conclut-il.