S’agissant de la tenue de la présidentielle, l’architecte semble écarter la date du 15 décembre, proposée par l’Assemblée nationale et rejetée par l’essentiel des membres de l’opposition, la société civile et une partie de la communauté internationale. Il considère également improbable l’organisation du scrutin le 25 février, initialement retenue. Une date située vers mai lui paraît «raisonnable».
Dans tous les cas, Atépa demande aux uns et aux autres de ne pas s’accrocher à des positions radicales, de faire preuve de souplesse et d’aller vers l’apaisement.