«Pour ma part, Sant’Egidio, le Grpc dirigé par Robert Sagna, le Collectif des cadres de Casamance dont Pierre Atépa Goudiaby est un des responsables, et le Groupe de contact basé à Ziguinchor doivent être mis en stand-by», a-t-elle déclaré.
Selon elle, «les négociations qui sont tantôt faites par San't Egidio, tantôt par le Grpc, ou par le Groupe de contact basé à Ziguinchor, doivent être mises en stand-by. Parce qu'il n'y a pas de coordination dans tout ce qu'ils font».
«Ce qui est clair, la situation en Casamance met en présence des acteurs qui ne sont pas au même niveau d'informations pour traiter de la question, qui n'ont pas les mêmes capacités et qui n'ont en fait aucune légitimité. Ils doivent tous arrêter», a conclu la présidente du Haut conseil du dialogue social.