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Idrissa Seck signe une pétition pour la libération de Khalifa Sall

POLITIQUE
Mardi 30 Juillet 2019

Idrissa Seck signe une pétition pour la libération de Khalifa Sall


 
Le président de Rewmi, a signé la pétition pour la libération de l’ex-maire de Dakar, Khalifa Sall, emprisonné depuis plus de deux ans dans le cadre de l’affaire de la caisse d’avance de la Ville de Dakar. Idrissa Seck, qui a reçu les responsables du Front pour la libération de Khalifa Sall. a magnifié et salué cette initiative de sa jeunesse. Il a remercié les jeunes du Rewmi pour leur « disponibilité, leur endurance, leur engagement et leur implication dans tous les combats de principe et de patriotisme ». Idy a saisi l’occasion de magnifier, à l’endroit des leaders du front citoyen, « les excellentes relations qu’il entretient avec son frère Khalifa Ababacar Sall. Relations, rappelle-t-il, lesquelles datent de 1993, lorsqu’il fut le ministre du Commerce, de l’artisanat et de l’industrialisation.

Au sortir de son face-à-face avec le leader de Rewmi, Me Mame Adama Guèye a fait un compte rendu succinct de son entretien avec Idrissa Seck. L’avocat affirme qu’il a alerté le leader de Rewmi sur le danger qui pèse sur le processus électoral, notamment une volonté claire du candidat Macky Sall d’organiser un «hold-up électoral». Pis, l’ancien candidat à la candidature pour la présidentielle de 2019 fait état d’un attentat rampant à la démocratie sénégalaise à travers une mainmise sur les réseaux sociaux, le contrôle de la presse publique, une volonté de contrôler la presse privée avec la complicité du CNRA, la volonté de tenir en respect les populations avec des dépenses importantes en équipement anti-émeute, et enfin la rétention des cartes d’électeur.

Concernant ce dernier point, Me Mame Adama Guèye révèle qu’on est en train de donner à des citoyens inscrits pendant la période de révision, des cartes qui ne leur permettent pas d’aller voter. C’est pourquoi il demande à toutes les personnes ayant rencontré ces problèmes de garder leurs récépissés en attendant que la plateforme règle la situation. «Nous prendrons toutes les dispositions appropriées pour que l’Etat du Sénégal délivre toutes les cartes avant le scrutin de février 2019 et permette de satisfaire ce droit citoyen», a-t-il déclaré. Dans la foulée, le leader de «Sénégal Bou bess» estime avoir présenté au président Idrissa Seck la plateforme opérationnelle de sécurisation des élections, qui va faire face à tous ces risques identifiés. «Monsieur Seck nous a, de manière spontanée, marqué son accord. Il nous encourage et souscrit au projet. Il nous a clairement dit qu’il accompagne le projet. Sa coalition va aller plus loin dans l’étude. Mais dans le principe, il a donné son accord. Et nous en sommes très satisfaits», a-t-il expliqué.


 

Toutefois, d’après Me Mame Adama Gueye, l’ancien Premier ministre sous Abdoulaye Wade leur a fait la suggestion de cibler dans leur campagne tous les acteurs politiques, pour que leur action ne soit pas perçue uniquement comme une démarche ciblant les candidats à l’élection présidentielle. Et conformément à cette suggestion, l’avocat et non moins homme politique a lancé un appel à tous les Sénégalais, candidats à l’élection, acteurs politiques, membres de la société civile, organisations des droits de l’homme, à rejoindre la plateforme. «Il ne s’agit pas tout simplement d’organiser des élections et d’avoir un nouveau Président. Mais plutôt de faire respecter les principes démocratiques et républicains. Nous devons tout faire pour éviter le hold-up. Nous connaissons les capacités de résistance du peuple sénégalais qui peuvent mener à des situations de conflits. C’est la paix sociale qui est en jeu. La plus grande richesse du Sénégal, ce n’est pas le pétrole, mais c’est plutôt sa paix sociale, son harmonie et sa stabilité», a-t-il dit pour terminer. Idrissa Seck, précise-t-il par ailleurs, n’a pas souhaité parler à l’issue de son entretien privé avec Me Mame Adama Gueye.


 

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