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Idrissa Seck : «Pour la première fois, nous avons un Etat au service d’un homme, d’une famille et d’un clan»

POLITIQUE
Mardi 8 Août 2017

«Pour la première fois, nous avons un Etat au service d’un homme, d’une famille et d’un clan. Il faut d’abord mettre un terme à ça. Le reste on verra plus tard. On verra en 2019. Je travaille, c’est tout. Ce que j’ai envie de dire aux opposants, c’est que l’unité est nécessaire. Nous devons tous travailler à l’unité pour faire face à un pouvoir personnel, dictatorial qui veut imposer sa volonté qui n’est pas au service du pays, mais au service des intérêts exclusivement personnels. Ça c’est la responsabilité première de tous les leaders de l’opposition. Travailler à l’unité. Nous étions à deux doigts de le réussir. Malheureusement, cela ne s’est pas fait. Ce serait bien que ça se fasse.
 
«Ce que j’ai envie de dire aux Sénégalais, c’est de se demander quel Sénégal ils veulent. Est-ce qu’ils veulent un Sénégal ou les gens ont constamment peur de parler au téléphone entre eux, parce qu’ils seraient surveillés et écoutés par l’Etat ? Est-ce qu’ils veulent un Sénégal ou personne n’utilisera Facebook ou Whatsapp, parce qu’on s’imagine qu’un procureur de la république viendra vous chercher ? Ou est-ce qu’on veut d’un Sénégal ou on est obligé d’être assujetti à Macky Sall pour avoir droit à la liberté ?

«Les Sénégalais doivent s’interroger sur le Sénégal qu’ils veulent. Est-ce qu’ils veulent d’un Sénégal où l’on dépense 500 milliards de FCFA pour 30 Km de rails et ou on détruit notre chemin de fer jusqu’à Bamako. Combattons pour les libertés publiques, combattons pour la libération de Khalifa Sall, pour la fin des complots politiques, de l’utilisation de la justice pour écraser des adversaires politiques. Combattons pour un processus électoral juste, qui permette à tous les citoyens d’exprimer leur foi. C’est ça le combat, c’est ça l’enjeu».
 

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