Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


Idrissa Seck : «Macky Sall est un triple violeur constitutionnel»

POLITIQUE
Vendredi 20 Avril 2018

Le passage en force de la loi portant révision de la Constitution ne met pas fin au combat de l’opposition. C’est ce qu’a affirmé Idrissa Seck qui a passé la nuit au commissariat central de Dakar avant d’être libéré tôt ce matin. 

Et selon lui, celle lutte est un devoir ne serait-ce que pour sauver la charte fondamentale du Sénégal car, indique-t-il «notre Constitution prescrit que la forme républicaine de l’Etat, le mode d’élection, la durée et le nombre de mandats du président de la République ne peuvent faire l’objet de révision, selon l’article 103  de notre Constitution». 

Ne s’en arrêtant pas là, le leader de Rewmi martèle : «l’alinéa 7 du même article dit que cet article 103 lui-même, ne peut pas faire l’objet de révision. Donc ce sont là, deux violations de notre Constitution». 

A l’en croire, «la troisième violation,  c’est celle concernant le droit à la marche que confère la Constitution». 

Ces cas de violation ont fait effondrer la République étant donné qu’elle ne peut plus «recourir ni au pouvoir législatif, ni au pouvoir judiciaire qui se sont prosternés devant le pouvoir exécutif». Ce qui lui fait  lancer un appel aux leaders de l’opposition et de la société civile à prendre une initiative en direction de la Cour de justice de la Cedeao pour attaquer cette loi. Avant d’ajouter qu’il donnera les modalités pratiques et l’angle d’attaque qu’il leur faudra adopter.
 

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022