Répondant à la question de savoir s’il envisage de suivre l’exemple de Samuel Eto’o en se portant candidat à l’élection du président de la FSF, il a dit que « le contexte n’est pas le même au Cameroun et au Sénégal ». « Nous n’avons pas les mêmes problèmes dans le football camerounais et le football sénégalais. »
Le vice-champion de la Coupe d’Afrique des nations 2002 affirme être « en phase avec ce qui se fait » à la FSF, « en travaillant en synergie avec toutes ces grandes personnes qui sont à la tête de notre fédération ».
« Pour l’instant, je suis là pour apprendre auprès des présidents [Augustin] Senghor, Cheikh Seck et des autres », a-t-il tenu à rappeler.
El Hadj Diouf se réjouit de l’élection de Samuel Eto’ à la présidence de la Fédération camerounaise de football. « J’applaudis cette élection, je suis très heureux », a-t-il réagi.
Diouf dit se sentir « utile » à la Fédération sénégalaise de football, dans l’exercice de ses fonctions de conseiller, chargé d’apporter sa contribution au développement du football national.
L’ancien capitaine des Lions du Sénégal s’entend beaucoup mieux actuellement avec les dirigeants actuels de la FSF, après avoir entretenu des relations tendues avec le président de ladite instance, Augustin Senghor, et ses collaborateurs.
M. Senghor a été réélu, le 7 août dernier, président de la Fédération sénégalaise de football pour un quatrième mandat. Il est aussi premier vice-président de la Confédération africaine de football depuis mars dernier.