Menu



Ziarra annuelle de Fès : Thierno Malick Ba renforce la diplomatie religieuse “Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités" 

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


El Hadji Hamidou Kassé: "Khalifa Sall ne peut être à l'ordre du jour du dialogue national"

POLITIQUE
Lundi 20 Novembre 2017

L’Opposition se met en marge de l’esprit de dialogue, en posant comme préalable à sa participation à ses concertations prévues demain mardi 21 novembre. C’est la conviction du ministre chargé de la communication de la présidence de la République. Invité de l’émission Objection de la radio Sud Fm (privée) hier, dimanche 19 novembre, El Hadji Hamidou Kassé a, par ailleurs, indiqué que le «problème de Khalifa Sall relève du juridique, donc, ne peut pas être à l’ordre du jour d’un dialogue politique». El Hadji Hamidou Kassé n’approuve pas l’attitude de certains responsables de l’opposition qui ont posé des préalables pour prendre part aux concertations initiées par le Chef de l’Etat, Macky Sall par l’entremise de son ministre de l’Intérieur Aly Ngouille Ndiaye. Invité du jour de l’émission Objection de la radio Sud Fm (privée) hier, dimanche 19 novembre, le ministre en charge de la communication de la présidence, a même déploré l’attitude de ces responsables de l’opposition dite significative. Face à notre confrère Baye Oumar Gueye, le journaliste Philosophe, soulignant que sans dialogue, il n’y a pas de démocratie, a en effet, invité les responsables des coalitions Gagnante Wattu Sénégaal et Mankoo Taxawu Senegaal à non seulement être «conséquents» avec eux-mêmes mais aussi à «savoir faire la part des choses». «Quand on va à un dialogue, il y’a pas de préalables. Si vous énoncez des préalables, cela veut dire que vous n’êtes pas animés de l’esprit de dialogue. On ne peut pas poser des préalables», a-t-il précisé d’emblée avant de trancher net : «Le problème de Khalifa Sall qui relève du juridique ne peut pas être à l’ordre du jour d’un dialogue politique». «Il faut être conséquent et savoir discerner. Il y’a un dossier juridique, laissons à la justice le soin de trancher d’une manière ou d’une autre», a-t-il déclaré. Auparavant, citant entre autres, les concertations sur le devenir de l’enseignement supérieur, les assisses nationales de l’éducation, le forum sur l’administration, les commissions nationales de réforme des institutions et de réforme foncière…, El Hadji Hamidou Kassé a souligné que le régime actuel privilégie le dialogue. «Vraiment la méthode de ce régime c’est d’abord le dialogue. Et, ce dialogue n’est pas que politique mais social, économique, culturel…, Il y’a véritablement une tradition, un principe du dialogue qui est installé», a-t-il indiqué avant d’ajouter au sujet du menu de la rencontre de demain convoquée selon lui, par le ministre de l’Intérieur sur instruction du chef de l’Etat et qui portera sur le «processus électoral mais sur notre vécu politique». «Il y’a un problème sur lequel, on ne revient pas concernant la dernière élection. Suite aux 47 listes enregistrées, il y’a à craindre que les prochaines élections qu’on arrive à 200 listes et comment on pourra gérer cette situation ? Certains parlent de bulletin unique mais je crois que cela ne règle pas le problème. Il faut que les acteurs politiques acceptent de se concerter, de dialoguer pour trouver une solution», précise-il avant de conclure : «la question de la modernisation des partis politiques et celle liée à la caution pour les élections à venir, le nombre et le profil des candidats, sont entre autres, questions sur lesquelles, il nous faut dialoguer».

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022