Menu



Ziarra annuelle de Fès : Thierno Malick Ba renforce la diplomatie religieuse “Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités" 

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


El Hadj Ibrahima Sall : «Il ne faut pas attendre la saison des pluies pour creuser des canalisations»

POLITIQUE
Dimanche 2 Juillet 2017

Économiste doublé de philosophe, ancien ministre du Plan sous Diouf, Président du parti «Demain la République», El Hadj Ibrahima Sall fait partie de ces Sénégalais qui refusent le fatalisme. Pour lui, «les inondations qui ont causé des morts ces deux dernières semaines au Sénégal, vont se reproduire malheureusement du fait d'une absence de politique de protection civile suffisamment conséquente». «Au Sénégal, nous avons un problème de discipline et de décision», soutient-il. Il était l'invité du Grand Jury de ce dimanche 02 juillet. 

Celui-ci de poursuivre : «Il ne faut pas attendre la saison des pluies pour creuser des canalisations. Nous avons besoin d'une organisation». Mêmes déboires, dit-il, par rapport aux pénuries d'eau qui découlent, selon lui, «d'un déficit structurel qui avait été résolu en 1996 avec la séparation de  la gestion de l'eau entre deux structures différentes. Toutes ces difficultés procèdent d'un défaut de planification ou d'exécution».
 
Interpellé sur les efforts de l'État concernant la production de l'électricité avec notamment la mise en place de centrales, il saluera l'initiative non sans rappeler que «dès 1998, on savait qu'il fallait réformer le secteur de l'électricité.» 

POLITIQUE ET LÉGISLATIVES 

Invité à donner son point de vue par rapport à la décision des partis et coalitions à travers la Cena qui devra permettre aux votants lors des législatives de ne prendre que 5 listes, El Ibrahima Sall apprécie mais minimise. Pour lui, il ne s'agit que d'une « micro-décision». Il ajoutera qu'il «vaut mieux des décisions consensuelles et non pas seulement majoritaires. Le dialogue politique doit être permanent. Il n'y a pas eu assez de dialogue... Avec 47 listes, le taux de participation allait être particulièrement faible. Il faut une autopsie... Il y a trop de listes pour des élections législatives... Il y a trop de partis!»
 
Il confiera, ainsi, que cette profusion de partis procède «en des deals entre des partis qui se réservent des privilèges (sacs de riz, passeports, dotation en carburant...)» avant de marteler que «ce pays cessera pas de sitôt d'être pris en otage par des politiques.»
 
Avec Dakaractu
 

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022