Mahammed Boun Abdallah Dionne, l’un de ces candidats, a exprimé son souhait que le processus électoral ne soit pas interrompu. « Qu’il n’y ait pas d’interruption du processus », a déclaré l’ancien Premier ministre.
De plus, il s’interroge sur le sort des candidats déjà validés. Selon lui, « il est évident que s’il y avait eu un accord pour que les candidats retenus poursuivent, il n’y aurait pas eu cette confusion ».
Boun Abdallah Dionne estime que c’est ce manque de clarté qui explique l’absence des autres candidats retenus lors de ce dialogue.
Il a ajouté : «Si le processus est repris, cela signifierait une rupture des droits acquis sur le plan juridique ».
Mahammed Boun Abdallah Dionne a conclu ses propos en mettant en avant deux points essentiels : la nécessité de traiter rapidement les personnes soupçonnées de corruption et la fixation d’une date pour l’élection. Il estime que le dialogue est pertinent pour aider le Président à prendre une décision concernant la date du scrutin