Ce blogueur mauritanien, musulman, âgé d'une trentaine d'années, vient de voir sa condamnation à mort ramenée à deux ans d'emprisonnement en appel.
Il avait été condamné pour un article sur internet jugé blasphématoire envers le prophète Mahomet.
Cette affaire était le premier cas de condamnation à la peine capitale pour apostasie dans le pays.
Sa libération est "un immense soulagement", a réagi le directeur d'Amnesty International pour l'Afrique de l'Ouest et du centre, Alioune Tine.
"Une fois Cheikh Ould Mohamed Ould Mkheitir relâché, les autorités doivent garantir qu'il puisse vivre sans menace d'agressions physiques", a-t-il ajouté.
Avec BBC