Depuis quelques jours, une vidéo circule sur la toile où on voit le célèbre chroniqueur Birima Ndiaye de la TFM débiter des menaces à l’endroit des étudiants. La plupart des Sénégalais qui ont regardé le film pensent que le syndicaliste a tenu ces propos condamnables au lendemain de la mort de l’étudiant Mouhamadou Fallou Sène. Ce qui n’est pas conforme à la réalité.
En vérité, nous sommes en face d’une vraie tentative de manipulation où les paroles de M. Ndiaye ont été extraites de leur contexte. Pour être plus clair, la vidéo date d’il y a deux ans, à peu près. Trois étudiants avaient séquestré un travailleur de l’université de St-Louis et l’avaient roué de coups. Ce dernier avait été évacué à l’hôpital alors qu’il était entre la vie et la mort. Informé de l’incident, Birima a effectivement menacé les auteurs de cet acte grave, mais, aujourd’hui, il avoue avoir parlé sous la puissance de l’émotion.
En fait, cela n’a aucun lien avec la mort de Fallou Sène. D’ailleurs, après l’agression relatée plus haut, une plainte avait été déposée. Cette plainte sera retirée à la demande des étudiants, dont certains sont devenus ses amis entre temps, et après plusieurs tentatives de médiation. Ainsi, que nous l’explique Birima Ndiaye, qui rappelle avoir donné raison aux étudiants à la suite de la mort de Fallou Sène.
Avec Dakaractu
En vérité, nous sommes en face d’une vraie tentative de manipulation où les paroles de M. Ndiaye ont été extraites de leur contexte. Pour être plus clair, la vidéo date d’il y a deux ans, à peu près. Trois étudiants avaient séquestré un travailleur de l’université de St-Louis et l’avaient roué de coups. Ce dernier avait été évacué à l’hôpital alors qu’il était entre la vie et la mort. Informé de l’incident, Birima a effectivement menacé les auteurs de cet acte grave, mais, aujourd’hui, il avoue avoir parlé sous la puissance de l’émotion.
En fait, cela n’a aucun lien avec la mort de Fallou Sène. D’ailleurs, après l’agression relatée plus haut, une plainte avait été déposée. Cette plainte sera retirée à la demande des étudiants, dont certains sont devenus ses amis entre temps, et après plusieurs tentatives de médiation. Ainsi, que nous l’explique Birima Ndiaye, qui rappelle avoir donné raison aux étudiants à la suite de la mort de Fallou Sène.
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