«C’est peine perdue», lance Bassirou Samb, responsable des jeunes. Selon ces propres termes dans «La Tribune», «le pouvoir ferait mieux de changer de stratégie et rien de ce qu’il fera ne (les) intimidera».
«Qu’ils préparent toutes les prisons du pays s’il le faut pour nous accueillir. Nous sommes déterminés à nous battre», avertit-il.
Arrêtés alors qu’ils procédaient à des affichages dans la nuit du dimanche au lundi, les sept jeunes pro-Khalifa Sall ont été relâchés, après 48 heures de détention au commissariat central.