Barthélémy Dias, le maire de Mermoz/Sacré-Cœur, qui se prononçait sur la question de la collecte organisée pour libérer Khalifa Sall est d’avis qu’il ne s’agit pas d’une caution mais plutôt d’une rançon.
Et pour lui, «un Etat ne peut pas se permettre d’avoir un comportement voyou». Et à ce titre, il déclare à travers les ondes de radio Sud que «ce n’est pas une collecte de caution, mais une collecte de rançon».
Ainsi, le maire de Mermoz/Sacré-Cœur reste prudent quant à l’atteinte des objectifs du collectif : «Cette rançon qui est demandée ne garantit pas la liberté de l’otage politique Khalifa Sall et c’est la raison pour laquelle je souhaiterai que les uns et les autres s’activent à mener le combat certes juridique, mais aussi à se mobiliser pour mener le combat politique».
Et ce combat doit être aussi, selon lui, l’affaire de tous les Sénégalais car, «au-delà de la personne de Khalifa Sall, c’est le peuple sénégalais qui est aujourd’hui insulté par les agissements et les comportements du régime en place. Ce qu’il y a lieu de faire c’est de se mobiliser aussi bien sur le plan judiciaire que sur le plan politique».
Avec Dakarmatin
Et pour lui, «un Etat ne peut pas se permettre d’avoir un comportement voyou». Et à ce titre, il déclare à travers les ondes de radio Sud que «ce n’est pas une collecte de caution, mais une collecte de rançon».
Ainsi, le maire de Mermoz/Sacré-Cœur reste prudent quant à l’atteinte des objectifs du collectif : «Cette rançon qui est demandée ne garantit pas la liberté de l’otage politique Khalifa Sall et c’est la raison pour laquelle je souhaiterai que les uns et les autres s’activent à mener le combat certes juridique, mais aussi à se mobiliser pour mener le combat politique».
Et ce combat doit être aussi, selon lui, l’affaire de tous les Sénégalais car, «au-delà de la personne de Khalifa Sall, c’est le peuple sénégalais qui est aujourd’hui insulté par les agissements et les comportements du régime en place. Ce qu’il y a lieu de faire c’est de se mobiliser aussi bien sur le plan judiciaire que sur le plan politique».
Avec Dakarmatin
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