Le titre de sa publication renvoie, selon lui, à « l’attachement » de l’homme à l’équipe nationale et au sport de manière générale, qui font, explique-t-il, qu’ « il est obligé de démarrer par cette ouverture car l’homme est connu plus par son appartenance à ce corps d’élite qui a géré cet Etat pendant très longtemps ».
Et, « derrière cette armoire de glace que l’on voit à distance parce que forgée dans les arcanes de l’ENA, de l’Etat, Ousmane Tanor Dieng présentait en dessous l’affabilité et la dignité incarnées mais surtout des sentiments profonds à l’égard de son prochain.
Je ne l’ai jamais interpellé ni appelé ni apostrophé encore moins par son nom, son prénom ou l’un de ses quelconques titres qu’il a eus au sein de l’Etat du Sénégal. Je lui disais toujours ’’grand’’. Et lui aussi, il anticipait par les accolades légendaires que nous partagions ’’sama rakk’’. Donc, j’estime aujourd’hui avoir perdu un grand-frère. »