«Cette démission ne surprend pas comme il l’a dit lui-même. Il a avait déjà les bases des conditions dans lesquelles il pourrait être en conciliation avec la magistrature, de par sa première alerte en démissionnant du conseil supérieur de cette magistrature et aujourd’hui, il se rend compte que rien a changé… » estime Me Dioma Ndiaye.
Il poursuit « il y a un malaise profond au niveau de la magistrature.
Ce serait une erreur de penser que c’est un épiphénomène, les réformes réclamées par les magistrats ne peuvent plus être différées.
On a créé certes des commissions, mais je pense qu’il y va de l’intérêt supérieur de la Nation ».