Chers compatriotes,
Depuis trois ans, l'adversité politique a cherché, par tous moyens imaginables, de trouver des cafards dans mes placards et de les rendre publics. L'objectif étant, simplement, de démontrer aux sénégalais qui apprécient la justesse de notre engagement, fondé sur des valeurs de patriotisme, d'éthique et de compétences, qu'en réalité nous sommes comme la plupart des politiciens, connus pour leur cupidité, leur fourberie et leur déloyauté.
Depuis trois ans, même avec tous les moyens de l'État, ils y ont lamentablement échoué. La raison en est simple: nous ne sommes, n'avons jamais été et ne serons jamais comme eux.
Las d'y parvenir, ils recourent aux moyens non conventionnels: la calomnie, la diffamation et le mensonge.
À ce jeu, une télévision et une émission remportent la palme, n'ayant certainement pas encore digéré mes accusations de délinquance fiscale contre l'homme politique, soutien du régime Sall, qui en est le boss.
Ainsi en a-t-il été des émissions à charge organisées contre ma personne lors de l'épisode de ma radiation, l'année dernière, sans la présence d'aucun de mes soutiens sur les plateaux. Il en avait également été ainsi lors de la parution de mon ouvrage sur le bradage de nos ressources pétrolières et gazières où la même télé avait fomenté une fausse bulle sur une prétendue interdiction de l'ouvrage.
Il en a encore été ainsi avant hier où, profitant d'une émission sur un dossier dont ni l'invité ni les animateurs ne connaissent rien, ces derniers, à l'évocation de mon nom, tels des fauves affamés face à une proie inespérée, s'en sont donnés à coeur joie, attentant à mon honneur et mon image.
Je tiens à rassurer mes amis qu'il s'agit d'un énorme mensonge sur un dossier de notoriété publique, géré par le ministère des finances, la dgid et le syndicat des impôts en toute transparence. Autrement, le régime beige marron s'en serait servi depuis. Je n'en dirais pas plus dans le fond car les responsables actuels dudit syndicat, et l'entrepreneur, y apporteront les précisions nécessaires dans la semaine.
Par contre, j'ai demandé à mes avocats de servir, dès lundi, une sommation interpellative à monsieur Bouba Ndour et à l'énergumène beige-marron au nom de Birima qui lui sert d'acolyte. Ils auront à répondre de l'utilisation des termes de "deal" et de "dessous de contrat" proférés à mon encontre. Toutes les suites judiciaires seront tirées de cette affaire car on ne peut permettre à n'importe quel illuminé, abrité derrière un micro, de diffamer, calomnier, mentir et ternir l'image des gens.