Certaines affirmations étaient catégoriques, d’autres dubitatives sur ce fléau de la transhumance.
Mais je pense qu'il nous appartient, nous les descendants de la noblesse ‘’mbodjéne’’ de conserver l’héritage social que nous a légué nos ancêtres.
Tata, un Mbodjéne doit rester digne car notre histoire notamment ‘’Talaatay Nder’’ ou le legs de Ndeumbeut Mbodji nous défend de se comporter ainsi.
L’argent, ne sert qu’à satisfaire nos besoins, au-delà, il n’a aucune importance.
La dignité n’a pas de prix et, en tant que Mbodjéne, je vous prie de continuer le combat pour la liberté, la démocratie et le droit ».
Par Moussa Mbodji
moussache1@gmail.com