L’affaire va sans doute faire jurisprudence, pour ne pas dire que le fameux arrêté Ousmane Ngom, brandi systématiquement pour interdire les marches ou sit-in en centre-ville, a subi un sérieux coup.
Le 31 août 2018, le préfet de Dakar interdisait un sit-in du Parti démocratique sénégalais (Pds) devant le ministère de l’Intérieur par arrêté numéro 0305 P/D/C. Pour justifier sa décision, l'autorité administrative s'était appuyée sur l'’arrêté N°007580/MINT/SP du 20 juillet 2011 de Me Ousmane Ngom. Selon les informations de "Libération", la Cour suprême a annulé hier l'arrêté du préfet après avoir constaté les «violations manifestes» contenues dans l’arrêté Ousmane Ngom.
Le 31 août 2018, le préfet de Dakar interdisait un sit-in du Parti démocratique sénégalais (Pds) devant le ministère de l’Intérieur par arrêté numéro 0305 P/D/C. Pour justifier sa décision, l'autorité administrative s'était appuyée sur l'’arrêté N°007580/MINT/SP du 20 juillet 2011 de Me Ousmane Ngom. Selon les informations de "Libération", la Cour suprême a annulé hier l'arrêté du préfet après avoir constaté les «violations manifestes» contenues dans l’arrêté Ousmane Ngom.