(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Dans une communication sous contrôle, certains passent entre les mailles du filet. Comme les caméras et les perches de l’émission Quotidien. La première fois, c'était la semaine dernière, le chef de l’Etat commentait à l’un de ses ministres sa rencontre avec les syndicats sur la réforme du travail : «Ça c’est très bien passé, je ne leur ai rien dit !» fanfaronne-t-il, sans savoir qu’on peut l’entendre.
Deuxième à-coup jeudi donc avec cette déclaration sur les kwassa-kwassa. Une « plaisanterie pas très heureuse » reconnaît-on à l’Elysée. Une imprudence dans le premier cas, un dérapage dans le second, qui montrent les limites du verrouillage de la communication voulu par Emmanuel Macron. Depuis son arrivée au pouvoir, cette volonté inquiète les journalistes.
Lors du premier conseil des ministres, les participants n’ont pas été autorisés à s’adresser à la presse. Dans la foulée, plusieurs médias ont protesté dans une lettre ouverte contre la volonté de l’exécutif de choisir les journalistes chargés de le suivre au Mali. Illustration d’un président qui a plus que son prédécesseur l’obsession de la communication parfaite, de la belle image et de la séquence» réussie.
Dans la vidéo tournée jeudi lors d'un déplacement en Bretagne, on voit Emmanuel Macron en train de parler de différents types d'embarcations. Le président compare les tapouilles qui servent aux pêcheurs de crevettes aux kwassa kwassa qui dit-il «amènent du Comorien».
En effet, les kwassa-kwassa servent aux migrants de l'archipel des Comores - un des pays les plus pauvres du monde - pour gagner Mayotte, département français situé à 70 km de là dans l'océan Indien. Depuis la diffusion du reportage de Quotidien sur TMC, les réseaux sociaux s’affolent et la polémique enfle dans les rues de Moroni.
Deuxième à-coup jeudi donc avec cette déclaration sur les kwassa-kwassa. Une « plaisanterie pas très heureuse » reconnaît-on à l’Elysée. Une imprudence dans le premier cas, un dérapage dans le second, qui montrent les limites du verrouillage de la communication voulu par Emmanuel Macron. Depuis son arrivée au pouvoir, cette volonté inquiète les journalistes.
Lors du premier conseil des ministres, les participants n’ont pas été autorisés à s’adresser à la presse. Dans la foulée, plusieurs médias ont protesté dans une lettre ouverte contre la volonté de l’exécutif de choisir les journalistes chargés de le suivre au Mali. Illustration d’un président qui a plus que son prédécesseur l’obsession de la communication parfaite, de la belle image et de la séquence» réussie.
Dans la vidéo tournée jeudi lors d'un déplacement en Bretagne, on voit Emmanuel Macron en train de parler de différents types d'embarcations. Le président compare les tapouilles qui servent aux pêcheurs de crevettes aux kwassa kwassa qui dit-il «amènent du Comorien».
En effet, les kwassa-kwassa servent aux migrants de l'archipel des Comores - un des pays les plus pauvres du monde - pour gagner Mayotte, département français situé à 70 km de là dans l'océan Indien. Depuis la diffusion du reportage de Quotidien sur TMC, les réseaux sociaux s’affolent et la polémique enfle dans les rues de Moroni.