Le défilé a eu lieu en fin de matinée et a été réglé comme les aiguilles d’une montre. Ali Bongo, costume-cravate, le visage barré par des lunettes noires, est arrivé debout sur son command-car. Appuyé sur une canne, il est descendu tout doucement et avec beaucoup de précaution, sous bonne surveillance de sa garde.
Traînant son pied droit, Ali Bongo s’est immobilisé pour écouter l’hymne national. Il a ensuite gravi une à une les marches de la tribune officielle où il a été ovationné par le public. Certains ont avoué l’avoir vu pour la première fois depuis son accident vasculaire cérébral (AVC), le 24 octobre 2018.
Ali Bongo, assis à côté de son épouse Sylvia, a admiré le passage devant la tribune des unités de son armée. A aucun moment, il ne s’est levé, comme autrefois.
Traînant son pied droit, Ali Bongo s’est immobilisé pour écouter l’hymne national. Il a ensuite gravi une à une les marches de la tribune officielle où il a été ovationné par le public. Certains ont avoué l’avoir vu pour la première fois depuis son accident vasculaire cérébral (AVC), le 24 octobre 2018.
Ali Bongo, assis à côté de son épouse Sylvia, a admiré le passage devant la tribune des unités de son armée. A aucun moment, il ne s’est levé, comme autrefois.