« Quand Serigne Touba endurait les souffrances à lui infligées, il était seul. Nul n'a jamais osé dire du mal de Serigne Touba. Tous ces khalifes ont dirigé la confrérie sans que nul n'ait osé créer des problèmes. Nous avons deux khalifes très cléments. Je veux nommer Serigne Mountakha et Serigne Abbas Mbacké. Cette clémence peut nous être d'un grand désastre. Ce qui s'est récemment passé à Touba lors des élections ne se passera plus jamais. Plus jamais à Touba, des élections ne permettront à une personne d'être élue. Les impolis seront corrigés. J'en donne la garantie. J'ai appelé tous les khalifes des grandes concessions pour les inviter à collaborer. Touba n'a qu'un chef et c'est le Khalife (...).
« Que les petits fils de Serigne Touba quittent les villes pour revenir au bercail. Quittez Dakar et revenez ici! Revenons à l'héritage de Serigne Touba. Suivons les traces de nos ancêtres. Les attaques contre la confrérie cesseront à tout prix. Quiconque désobéit sera châtié de sa témérité. Je refuse d'aller rejoindre à ses soi-disant appels de l'islam qui se font à Dakar ».
Serigne Mame Thierno de préciser : passant. « Personne ne m'a demandé de parler. Mais une chose est claire. Plus jamais on ne parlera au nom de Serigne Touba. Il n'est plus question de laisser à n'importe qui la latitude de dire ou de faire n'importe quoi. Si j'ai amené la gendarmerie ici chez moi, c'est pour traquer les malfaiteurs. Je demande aux commandant de la gendarmerie de n'épargner aucun malfrat, serait-il mon fils! »
« Que les petits fils de Serigne Touba quittent les villes pour revenir au bercail. Quittez Dakar et revenez ici! Revenons à l'héritage de Serigne Touba. Suivons les traces de nos ancêtres. Les attaques contre la confrérie cesseront à tout prix. Quiconque désobéit sera châtié de sa témérité. Je refuse d'aller rejoindre à ses soi-disant appels de l'islam qui se font à Dakar ».
Serigne Mame Thierno de préciser : passant. « Personne ne m'a demandé de parler. Mais une chose est claire. Plus jamais on ne parlera au nom de Serigne Touba. Il n'est plus question de laisser à n'importe qui la latitude de dire ou de faire n'importe quoi. Si j'ai amené la gendarmerie ici chez moi, c'est pour traquer les malfaiteurs. Je demande aux commandant de la gendarmerie de n'épargner aucun malfrat, serait-il mon fils! »