Face à la presse le jeudi 29 mars, le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) a déposé une plainte sur la table du groupe Sud Communication, pour licenciement abusif de certains travailleurs du groupe.
Selon Actusen, c’est une occasion saisie par le Secrétaire général Ibrahima Khalilou Ndiaye pour donner sa position sur la situation qui prévaut au sein du groupe. «Les arguments qui ont été donnés pour justifier le licenciement de nos camarades sont purement fallacieux et ne répondent à aucune norme. Le Synpics condamne cet acte et décide de porter l’affaire devant la justice», a menacé Ibrahima Khalilou Ndiaye, qui, au cours de son discours, est revenu en large sur les raisons pour lesquelles, Bakary Domingo Mané, Mame Aly Konté et Cheikh Tidiane Mbengue ont été licenciés.
«Au mois de janvier dernier, il y a eu une réunion organisée par certains travailleurs qui sont restés pendant trois mois sans recevoir leurs salaires. Cette rencontre a été couronnée par un mémorandum, auquel, la direction n’a pas répondu. Et après avoir payé les salaires, la direction a institué des réunions en disant qu’il fallait que les travailleurs émargent pour attester de leur présence. Certains n’ont pas suivi cette procédure. S’en est suivi des menaces jusqu’à même des licenciements», explique-t-il.
Selon Actusen, c’est une occasion saisie par le Secrétaire général Ibrahima Khalilou Ndiaye pour donner sa position sur la situation qui prévaut au sein du groupe. «Les arguments qui ont été donnés pour justifier le licenciement de nos camarades sont purement fallacieux et ne répondent à aucune norme. Le Synpics condamne cet acte et décide de porter l’affaire devant la justice», a menacé Ibrahima Khalilou Ndiaye, qui, au cours de son discours, est revenu en large sur les raisons pour lesquelles, Bakary Domingo Mané, Mame Aly Konté et Cheikh Tidiane Mbengue ont été licenciés.
«Au mois de janvier dernier, il y a eu une réunion organisée par certains travailleurs qui sont restés pendant trois mois sans recevoir leurs salaires. Cette rencontre a été couronnée par un mémorandum, auquel, la direction n’a pas répondu. Et après avoir payé les salaires, la direction a institué des réunions en disant qu’il fallait que les travailleurs émargent pour attester de leur présence. Certains n’ont pas suivi cette procédure. S’en est suivi des menaces jusqu’à même des licenciements», explique-t-il.