« Le Gouvernement et ses soutiens doivent faire très attention avec l’utilisation du terme « rebelle » dans une communication purement politicienne. N’est-ce pas, d’ailleurs, le président de la République qui avait demandé qu’on ne parle pas, de manière inconsidérée, du conflit en Casamance ? Il faut arrêter de jouer avec le feu et contre les intérêts du peuple.Le conflit en Casamance ne saurait être un terrain de jeu pour des préoccupations bassement politiciennes», a déclaré Birahim Seck.
|
Utilisation abusive du mot "rebelle" : Birahim Seck met en garde le gouvernement
« Le Gouvernement et ses soutiens doivent faire très attention avec l’utilisation du terme « rebelle » dans une communication purement politicienne. N’est-ce pas, d’ailleurs, le président de la République qui avait demandé qu’on ne parle pas, de manière inconsidérée, du conflit en Casamance ? Il faut arrêter de jouer avec le feu et contre les intérêts du peuple.Le conflit en Casamance ne saurait être un terrain de jeu pour des préoccupations bassement politiciennes», a déclaré Birahim Seck.
POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022