L’Ong Jamra, qui est toujours en croisade contre la vente de dosettes alcoolisées, a fait une surprenante révélation. Il s’agit d’un imam qui exploite actuellement un bar au quartier Arafat de Grand-Yoff. Mame Mactar Guèye et ses camarades se sont offusqués que quelqu’un qui se targue d’être un «Khalifatoul Laahi fil ardi» (représentant de Dieu sur terre), puisse s’adonner à de telles pratiques. À les croire, un imam n’a pas le droit, fort de la noblesse de son sacerdoce et de dépositaire de la Parole Coranique et du Message Prophétique, de passer son temps à moraliser les gens, tout en exploitant un haut lieu de vulgarisation de «l’eau de feu», comme ce bar au quartier Arafat de Grand-Yoff.
L’Ong Jamra, qui est écœurée par cette situation, donne jusqu’à la fin du mois de mai, à «ce contre-exemple» pour les jeunes populations grand-yoffoises, pour fermer ce lieu de dépérissement et de destruction des jeunes. À défaut, Jamra et ses alliés, soucieux de la sauvegarde de l’image de notre sublime religion, et de la préservation de la santé mentale et morale des enfants, comptent user de leur droit d’exprimer légalement et publiquement leur indignation, à travers une marche pacifique, pour exiger la destitution de cet imam, qui déshonore cette respectable charge.
L’organisation estime que dans tous les cas de figure, cet imam ne peut s’arroger le droit d’incarner la haute fonction cléricale tout en encourageant, directement(en étant le propriétaire du bar) ou indirectement (en étant le bailleur immobilier du lieudit) le fléau de l’alcoolisme dont les ravages auprès des masses juvéniles se passent de commentaires. «Il n’a qu’à fermer ce local infect ou Jamra organise une marche pour le dénoncer. Il faut qu’il arrête de ternir l’image de l’Islam et d’égarer les jeunes», avertit l’Ong dirigée par Mame Mactar Guèye.
L’Ong Jamra, qui est écœurée par cette situation, donne jusqu’à la fin du mois de mai, à «ce contre-exemple» pour les jeunes populations grand-yoffoises, pour fermer ce lieu de dépérissement et de destruction des jeunes. À défaut, Jamra et ses alliés, soucieux de la sauvegarde de l’image de notre sublime religion, et de la préservation de la santé mentale et morale des enfants, comptent user de leur droit d’exprimer légalement et publiquement leur indignation, à travers une marche pacifique, pour exiger la destitution de cet imam, qui déshonore cette respectable charge.
L’organisation estime que dans tous les cas de figure, cet imam ne peut s’arroger le droit d’incarner la haute fonction cléricale tout en encourageant, directement(en étant le propriétaire du bar) ou indirectement (en étant le bailleur immobilier du lieudit) le fléau de l’alcoolisme dont les ravages auprès des masses juvéniles se passent de commentaires. «Il n’a qu’à fermer ce local infect ou Jamra organise une marche pour le dénoncer. Il faut qu’il arrête de ternir l’image de l’Islam et d’égarer les jeunes», avertit l’Ong dirigée par Mame Mactar Guèye.