Ancien de la Jeanne d’Arc de Dakar, Pape Djibril Diaw défend présentement les couleurs de Rukh Lviv, un club qui évolue dans l’élite du championnat ukrainien.
Depuis quelques jours, ce pays est en guerre avec la Russie. Et le début des affrontements l’a trouvé en Ukraine. Par la suite, il a réussi à quitter le pays en voiture, il a conduit jusqu’à la France ou vive sa femme et ses enfants.
« Nous habitons à l’ouest de l’Ukraine à 1h30 de la Pologne. Le jeudi, nous étions réveillés par une sirène. Par la suite, nous nous sommes renseignés du côté du club. C’est ainsi qu’ils nous ont dit que partie du pays a été attaquée.
Finalement, la séance d'entrainement du jour ainsi que le championnat ont été annulés. Après, j’ai décidé de quitter le pays parce que ça devenait dangereux avec les bombardements qui pouvaient arriver à n’importe quel moment.
J’ai quitté vers 14h pour arriver aux frontières vers 16h. On a trouvé sur place beaucoup de voitures et il fallait prendre son mal en patience.
Finalement, on a réussi à passer la frontière polonaise vers 00h. Ça n’a pas été facile.
J'avais une voiture mais mes coéquipiers Brésiliens et Argentins qui n’en avaient pas sont toujours bloqués là-bas.
Je prie pour que cet événement passe rapidement. La guerre a bouleversé l’équilibre de tout un pays », a-t-il indiqué lui qui est passé par Angers, Caen, Port et AS Yeggo.
SPORT221
Depuis quelques jours, ce pays est en guerre avec la Russie. Et le début des affrontements l’a trouvé en Ukraine. Par la suite, il a réussi à quitter le pays en voiture, il a conduit jusqu’à la France ou vive sa femme et ses enfants.
« Nous habitons à l’ouest de l’Ukraine à 1h30 de la Pologne. Le jeudi, nous étions réveillés par une sirène. Par la suite, nous nous sommes renseignés du côté du club. C’est ainsi qu’ils nous ont dit que partie du pays a été attaquée.
Finalement, la séance d'entrainement du jour ainsi que le championnat ont été annulés. Après, j’ai décidé de quitter le pays parce que ça devenait dangereux avec les bombardements qui pouvaient arriver à n’importe quel moment.
J’ai quitté vers 14h pour arriver aux frontières vers 16h. On a trouvé sur place beaucoup de voitures et il fallait prendre son mal en patience.
Finalement, on a réussi à passer la frontière polonaise vers 00h. Ça n’a pas été facile.
J'avais une voiture mais mes coéquipiers Brésiliens et Argentins qui n’en avaient pas sont toujours bloqués là-bas.
Je prie pour que cet événement passe rapidement. La guerre a bouleversé l’équilibre de tout un pays », a-t-il indiqué lui qui est passé par Angers, Caen, Port et AS Yeggo.
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