Il faut dire que la tension était vive entre les étudiants et les autorités universitaires sur les questions liées à l’assainissement du campus social entre autres mais, l’orientation de nouveaux bacheliers, plus de 4 mille est la goutte d’eau qui fait déborder le vase car, les étudiants y ont opposé leur véto. Raison évoquée, le trop plein d'étudiants déjà sur place et qui sont confrontés avec des problèmes de lits.
Face à cette tension électrique et le dialogue de sourd qui s’est installé dans les négociations, les deux camps campent chacun sur sa position. Comme à leur habitude pour montrer leur courroux, les étudiants ont la fâcheuse habitude de barrer la RN2. Un moyen de lutte que les gendarmes n’acceptent pas et l’ont fait savoir avec l’utilisation de lacrymogènes pour les disperser et dégager la route. La riposte avec des jets de pierres fait que les alentours de l’Ugb sont devenus dangereux pour les riverains et aux automobilistes qui sont garés sur la chaussée
Face à cette tension électrique et le dialogue de sourd qui s’est installé dans les négociations, les deux camps campent chacun sur sa position. Comme à leur habitude pour montrer leur courroux, les étudiants ont la fâcheuse habitude de barrer la RN2. Un moyen de lutte que les gendarmes n’acceptent pas et l’ont fait savoir avec l’utilisation de lacrymogènes pour les disperser et dégager la route. La riposte avec des jets de pierres fait que les alentours de l’Ugb sont devenus dangereux pour les riverains et aux automobilistes qui sont garés sur la chaussée