Les détenus, arrêtés après la tuerie de Boffa Bayotte, sont poursuivis pour association de malfaiteurs, assassinat, participation à un mouvement insurrectionnel et détention d’armes à feu sans autorisation.
C’est la réclusion criminelle à perpétuité qui a été requise contre René Capin Bassène, Omar Ampoi Bodian, le chef rebelle César Atoute Badiate (jugé par contumace) et dix autres accusés par l’avocat général qui a eu la main lourde contre les prévenus dans ladite affaire.
Pour rappel, dans cette affaire les conseillers ont tous tenté d’écarter la thèse de l’assassinat ainsi que l’ensemble des chefs d’accusations portés contre les accusés, en plaidant pour un acquittement après quatre ans de détention de ses clients.
Très optimiste à l’issue du procès qui a été bouclé ce 18 avril, Me Cledor, de soutenir que « ces faits ne peuvent pas être imputés à quiconque parmi ceux qui étaient au banc des accusés. Nous pensons que le 13 juin, ils partiront libre de cette salle et sans les menottes «.
Retour sur les faits
Le 6 janvier 2018, des hommes armés dans la forêt classée du Bayotte-Est, non loin de Boffa-Bayotte, ont attaqué des individus et tué quatorze (14) d’entre eux.
Quelques jours après ce drame qui a ému tout le Sénégal, les forces de l’ordre ont procédé à l’arrestation d’une vingtaine de personnes. L’armée avait également procédé à des opérations de « nettoyage » de la forêt casamançaise.
C’est la réclusion criminelle à perpétuité qui a été requise contre René Capin Bassène, Omar Ampoi Bodian, le chef rebelle César Atoute Badiate (jugé par contumace) et dix autres accusés par l’avocat général qui a eu la main lourde contre les prévenus dans ladite affaire.
Pour rappel, dans cette affaire les conseillers ont tous tenté d’écarter la thèse de l’assassinat ainsi que l’ensemble des chefs d’accusations portés contre les accusés, en plaidant pour un acquittement après quatre ans de détention de ses clients.
Très optimiste à l’issue du procès qui a été bouclé ce 18 avril, Me Cledor, de soutenir que « ces faits ne peuvent pas être imputés à quiconque parmi ceux qui étaient au banc des accusés. Nous pensons que le 13 juin, ils partiront libre de cette salle et sans les menottes «.
Retour sur les faits
Le 6 janvier 2018, des hommes armés dans la forêt classée du Bayotte-Est, non loin de Boffa-Bayotte, ont attaqué des individus et tué quatorze (14) d’entre eux.
Quelques jours après ce drame qui a ému tout le Sénégal, les forces de l’ordre ont procédé à l’arrestation d’une vingtaine de personnes. L’armée avait également procédé à des opérations de « nettoyage » de la forêt casamançaise.