La tension est à son paroxysme. Dr Cheikh Gueye, qui rappelle les acteurs politiques leurs responsabilités, a élevé la voix. Il a souligné que le Sénégal a besoin de paix. Une paix qu’il faut préserver à tout prix, surtout le chef de l’Etat qui avait pris certains engagements. « Et à qui nous avons déjà parlé plusieurs fois lors des crises de 2021… »
Lesquels engagements, poursuit le secrétaire général du Cudis, notamment en ce qui concerne « la préservation de la paix, des décisions fortes pour que le pays reste stable et préserve le vivre ensemble et la cohésion sociale ».
A en croire M. Gueye, le chef de l’Etat avait aussi promis sur « les cas Khalifa Sall et Karim Wade, de faire quelque chose. On voit qu’il y a des annonces, mais pour le moment, il n’y a encore rien de concret, mais aussi pour toutes les affaires de justice qui concernent le landernau politique, pour que les règles du jeu conviennent à tout le monde. Sur tout ça, on attend le président de la République… ».
A chaque fois que besoin, ajoute le « le Cudis qui rappelle aux acteurs politiques leurs responsabilités historiques par rapport à un pays qu’ils disent vouloir améliorer, vouloir porter au pinacle des pays développés. Ils le disent avec tellement de volontarisme et d’engagement. Qu’ils sachent que ce pays a besoin d’être préservé, sa stabilité et la paix qui y règnent sont les principales ressources. Qu’ils se rappellent du legs qui leur a été laissé par plusieurs générations de Sénégalais ».
Lesquels engagements, poursuit le secrétaire général du Cudis, notamment en ce qui concerne « la préservation de la paix, des décisions fortes pour que le pays reste stable et préserve le vivre ensemble et la cohésion sociale ».
A en croire M. Gueye, le chef de l’Etat avait aussi promis sur « les cas Khalifa Sall et Karim Wade, de faire quelque chose. On voit qu’il y a des annonces, mais pour le moment, il n’y a encore rien de concret, mais aussi pour toutes les affaires de justice qui concernent le landernau politique, pour que les règles du jeu conviennent à tout le monde. Sur tout ça, on attend le président de la République… ».
A chaque fois que besoin, ajoute le « le Cudis qui rappelle aux acteurs politiques leurs responsabilités historiques par rapport à un pays qu’ils disent vouloir améliorer, vouloir porter au pinacle des pays développés. Ils le disent avec tellement de volontarisme et d’engagement. Qu’ils sachent que ce pays a besoin d’être préservé, sa stabilité et la paix qui y règnent sont les principales ressources. Qu’ils se rappellent du legs qui leur a été laissé par plusieurs générations de Sénégalais ».