Le candidat à la présidentielle de février 2024, Khalifa Ababacar Sall a fait face le samedi 20 janvier, à un panel de jeunes influenceurs, issus de divers secteurs. Au cours de cet échange, le leader de la plateforme Taxawu Sénégal a partagé sa vision, sur différents sujets qui interpellent la jeunesse.
Le panel des jeunes sous forme de jury était composé de Moriba Cissokho, (Activiste), Seynabou Pouye, (Militante Société Civile), Amdy Barham Sane, (Entrepreneur Social), Ghaels Mbaye, (Power To Younth), Merry Beye, (Journaliste Bloggeuse), Serge Hope, (Blogueur), Bathie Drizzy, (Créateur Digital), Fanta Camara, (Activiste Ecologique), Sylvie Diack, (Activiste, Santé de la Reproduction), Djibril Bocoum, (Equipe Aidons les Talibés), Mariama Gackou Faye, (Juriste Conseillère Municipale).
Le panel des jeunes sous forme de jury était composé de Moriba Cissokho, (Activiste), Seynabou Pouye, (Militante Société Civile), Amdy Barham Sane, (Entrepreneur Social), Ghaels Mbaye, (Power To Younth), Merry Beye, (Journaliste Bloggeuse), Serge Hope, (Blogueur), Bathie Drizzy, (Créateur Digital), Fanta Camara, (Activiste Ecologique), Sylvie Diack, (Activiste, Santé de la Reproduction), Djibril Bocoum, (Equipe Aidons les Talibés), Mariama Gackou Faye, (Juriste Conseillère Municipale).
Plusieurs thèmes ont été abordés parmi lesquels : participation des jeunes dans les instances de prise de décisions, insertion sociale et économique des jeunes (Emplois, accès au logement et á la santé), détentions abusives de jeunes activistes (Réformes judiciaires, protection), jeunes et changements climatiques (Effets, enjeux défis), transparence et redevabilité, santé de la reproduction, questions migratoires.
Khalifa Ababacar Sall a répondu sans détours ni langue de bois. Il s’est montré clair et par moment tranché. Sur les questions migratoires, Khalifa Sall relève que les motivations de l’immigration clandestine sont souvent d’ordre économique, sociale…les jeunes sont révoltés et désœuvrés. Raison pour laquelle, s’il est élu président de la République, il prend l’engagement de donner aux jeunes des raisons de rester au pays, en faisant la promotion des financements adaptés, dans des secteurs cibles productifs. Les ressources naturelles constitueront des leviers d’investissement additionnels et le renforcement du secteur artisanal figure parmi les réponses à apporter au phénomène migratoire.
Sur le volet jeunes et changements climatiques, Khalifa Ababacar Sall souligne s’il est élu de réserver 15% du BIC et des investissements massifs dans les communes pour la préservation des écosystèmes et des villes vertes. Une formation et déploiement de 2000 assistants techniques ciblant les jeunes pour le renforcement des écosystèmes auprès des communautés sera concrétisée. Dans ce même ordre d’idée, un fond capital-risque pour l’innovation technologique et l'entrepreneuriat au service de la préservation des écosystèmes sera dégagé.