L’édile de la ville de Thiès Talla Sylla, ne se fait plus aucun doute sur sa «fin imminente» à la tête de l’institution municipale qu’il dirige. Il semble l’avoir fait comprendre ce week-end , au cours de la cérémonie marquant la 7e édition des audiences publiques qu’il organise tous les six mois, en présence des autorités administratives, religieuses, locales et les populations thiessoises. «Dieu seul peut nous dire qui sera le prochain maire de ville. Aussi, l’envie de redevenir maire ne doit pas nous induire à transgresser le droit chemin», a dit à ses proches, le premier magistrat de la Cité du rail.
Et Talla Sylla de déclarer : «mon devoir, c’est de faire tout le nécessaire pour «sortir par la grande porte», avec la satisfaction d’avoir œuvré pour l’intérêt de Thiès».
Sur sa «rencontre-deal» avec les maires rewmistes des trois communes de Thiès-Est, Thiès-Ouest et Thiès-Nord, qui seraient aujourd’hui «vomis»par l’ancien Premier ministre Idrissa Seck, le maire de la Ville a confié que «beaucoup de choses ont été dites ces derniers temps dont la plupart ne sont que des spéculations. Nous avions prévu de nous rencontrer pour l’intérêt des Thiessois mais cette rencontre n’a pas eu lieu».
Dans tous les cas, estime-t-il, usant d’une métaphore en rapport avec la vie de ses administrés, «il est impossible de séparer une locomotive de ses wagons. Aussi, pour que les choses puissent aller de l’avant, il doit y avoir forcement retrouvailles et union pour l’intérêt de cette cité. Nous sommes à la tête de cette ville composée de trois communes et nous allons assumer nos responsabilités», a-t-il martelé.
Le président de «Fal Askan Wi» explique avoir pris, sur lui, l’initiative « d’inviter les trois maires des trois communes autour de la table des négociations pour, ensemble, prendre en charge et régler les problèmes cruciaux de la ville de Thiès».
Celui que Idrissa Seck «n’aimerait plus croiser sur sa route», ne manque pas de lancer un appel aux partenaires, associations, bonnes volontés qu aspirent à l’émergence de la Cité du rail. «Nous allons organiser un forum des partenaires pour que chaque projet contenu dans le Plan de Développement de la Ville (Pdv), puisse être donné à un partenaire stratégique», confie Talla Sylla, qui prévoit de faire un « emprunt populaire local», vu le contexte social économique, avec l’inauguration de l’AIBD, au mois de décembre prochain.
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Et Talla Sylla de déclarer : «mon devoir, c’est de faire tout le nécessaire pour «sortir par la grande porte», avec la satisfaction d’avoir œuvré pour l’intérêt de Thiès».
Sur sa «rencontre-deal» avec les maires rewmistes des trois communes de Thiès-Est, Thiès-Ouest et Thiès-Nord, qui seraient aujourd’hui «vomis»par l’ancien Premier ministre Idrissa Seck, le maire de la Ville a confié que «beaucoup de choses ont été dites ces derniers temps dont la plupart ne sont que des spéculations. Nous avions prévu de nous rencontrer pour l’intérêt des Thiessois mais cette rencontre n’a pas eu lieu».
Dans tous les cas, estime-t-il, usant d’une métaphore en rapport avec la vie de ses administrés, «il est impossible de séparer une locomotive de ses wagons. Aussi, pour que les choses puissent aller de l’avant, il doit y avoir forcement retrouvailles et union pour l’intérêt de cette cité. Nous sommes à la tête de cette ville composée de trois communes et nous allons assumer nos responsabilités», a-t-il martelé.
Le président de «Fal Askan Wi» explique avoir pris, sur lui, l’initiative « d’inviter les trois maires des trois communes autour de la table des négociations pour, ensemble, prendre en charge et régler les problèmes cruciaux de la ville de Thiès».
Celui que Idrissa Seck «n’aimerait plus croiser sur sa route», ne manque pas de lancer un appel aux partenaires, associations, bonnes volontés qu aspirent à l’émergence de la Cité du rail. «Nous allons organiser un forum des partenaires pour que chaque projet contenu dans le Plan de Développement de la Ville (Pdv), puisse être donné à un partenaire stratégique», confie Talla Sylla, qui prévoit de faire un « emprunt populaire local», vu le contexte social économique, avec l’inauguration de l’AIBD, au mois de décembre prochain.
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