« Avec ses perpétuelles volte-face, Talla Sylla sait qu’il est au crépuscule de sa présence à la tête de la mairie de la Ville de Thiès. Il ne saurait être question pour ce cadavre politique qui a vendu son âme au diable de penser à un autre mandat. C’est un aventurier qui en est indigne ». Ce sentiment exprimé par un leader d’opinion très en vue dans la capitale de la Petite côte en dit long sur le « jeu politique sale et mesquin » de l’édile de la ville qui, en un temps record, avait annoncé sa « candidature à la présidentielle de 2019 », puis fait une « volte-face » pour y renoncer au profit de « celle du président Macky Sall ». Ce après avoir « juré fidélité » à Idrissa Seck qui l’a mis à la tête de la mairie de Ville ! Dans ces conditions, évidemment, on ne s’étonnera pas que beaucoup de Thiessois disent n’avoir plus confiance en l’actuel maire de leur ville.
« Talla Sylla est un ‘’comédien politique’’ qui ne gère que ses intérêts crypto-personnels, l’intérêt général est le cadet de ses soucis. Il se moque du développement de sa ville ». Cette remarque est d’un certain Saliou Faye, marchand ambulant, selon qui le leader du mouvement « Fal Askan Wi » est « quelqu’un qui n’est pas très apprécié à cause de ses défauts ». D’après la commerçante Ndèye Fatou Sy au marché Moussanté, « le maire de la Ville ne s’est jamais préoccupé de défendre Thiès ou de prendre en charge les préoccupations des Thiessois, à préserver les intérêts de la ville ».
Et nombre de citoyens dans la cité de penser que « l’erreur politique de Idrissa Seck a été de porter au pouvoir un Talla Sylla aussi versatile qu’impossible ». Ils rappellent les résultats catastrophiques de la majorité présidentielle lors des élections législatives du 30 juillet 2017. Des résultats qui ont même « frisé le ridicule » et ont fini de prouver « le manque de popularité du patron de ‘’Fal Askann Wi’’ aujourd’hui politiquement mort », et par delà, « le refus d’adhésion des Thiessois à sa politique. Ses résultats catastrophiques obtenus lors des élections législatives ont montré toutes ses limites » disent ces interlocuteurs. L’ex-patron de la « Jeunesse pour l’Alternance », président d’honneur de l’Alliance Jëf Jël et leader de « Fal Askann wi », qui se définit aujourd’hui comme « n’étant ni du pouvoir ni de l’opposition mais l’autre position », a été décrit par le 1er vice-président du conseil départemental de Thiès et secrétaire national à la vie politique du parti Rewmi, M. Yankhoba Diattara, comme un « traître pur-sang que Idrissa Seck a sorti de l’ombre. Un cadre politique mourant que l’on devait emmener au cimetière politique, mais qui a été ramassé à la dernière minute par le président de Rewmi »
Un pion sous les ordres du président Macky Sall
Un « pion sous les ordres du Président Macky Sall avec comme mandat de déstabiliser Idrissa Seck. Un pion qui avait acheté la carte du parti Rewmi pour pouvoir devenir maire de Thiès-Ville ». Un « homme fini, qui a échoué, n’a plus aucun avenir politique à Thiès, d’où son ralliement au Chef de l’Etat ». Les partisans de l’actuel président du conseil départemental sont d’avis que « Talla Sylla devrait suivre les traces, les pas de Idrissa Seck, pour continuer à travailler pour les Thiessois sur des projets structurants, des projets de développement en communion avec toutes les forces politiques de Thiès ». Malheureusement, se désolent les mêmes, « il n’a aujourd’hui aucun bilan à présenter aux Thiessois, il a échoué et aujourd’hui il ne peut que se réfugier derrière Macky Sall ». Ils se disent convaincus que « les résultats catastrophiques obtenus aux dernières élections législatives du 30 juillet 2017 par le maire de Thiès qui conduisait une liste à ce scrutin sont pour lui des signes avant-coureurs d’une fin pitoyable à la tête de l’institution municipale qu’il dirige. Ces résultats ont fini par montrer toutes ses limites ». Dans tous les cas, ces proches de l’ancien Premier ministre dénoncent une « volonté malsaine de Talla Sylla de se pérenniser à la tête de l’institution municipale » et regrettent « l’erreur politique de Idrissa Seck de l’avoir proposé à la tête de l’institution municipale ».
Chérif Diop, mécanicien, est au nombre de ceux-là. Selon lui, le fait d’avoir choisi Talla Sylla pour en faire un maire, « cela a été une ‘’faute’’ que le patron de Rewmi est en train de payer. Aujourd’hui Idrissa Seck paie les pots cassés de son manque de vision, en proposant aux Thiessois un Talla Sylla aussi versatile qu’impossible. Un maire qui s’est tristement illustré à travers une gestion gabégique de sa mairie, dans une ville qui, par un passé récent, a brillé par sa salubrité et qui, aujourd’hui, croule sous le poids des immondices. Un maire qui ne jouit pas de la confiance des Thiessois, qui n’attend que l’organisation des futures élections locales pour s’en aller, quitter Thiès qu’il a déjà vendue au Président Macky Sall ».
Retrouvailles de façade entre Idrissa Seck et Talla Sylla
Les opposants au maire de la ville rappellent les « retrouvailles de façade » entre Idrissa Seck et Talla Sylla lors de la cérémonie du 3e jour du rappel à Dieu de Sokhna Rougui Sy, mère d’Abdoulaye Diaw dit Baba, patron de Itoc, au quartier Malamine Senghor. Ce devant presque toute la République. Le milliardaire avait réussi à convaincre le président du parti Rewmi, Idrissa Seck, et le maire de la ville de Thiès, Talla Sylla, de se serrer la main en signe de « réconciliation ». Cette réconciliation avait d’autant plus courroucé les habitants de la ville-aux-deux-gares que le président du mouvement « Fal Askaan Wi » avait toujours opposé un « niet » catégorique aux marabouts de Thiès qui voulaient le réconcilier avec le président du conseil départemental. Les khalifes généraux de Keur Mame El Hadj, Serigne Mounirou Ndiéguene, et de Diamaguene Nimzath, Cheikh N’Hima Haïdara, ainsi que le représentant à Thiès du Khalife général des mourides, Serigne Saliou Touré, de même que l’association des fils de Cheikhs, entre autres chefs religieux de la ville de Thiès, avaient tous échoué dans leur médiation visant à réconcilier Talla Sylla avec Idrissa Seck.
Le président du mouvement « Fal Askaan Wi », qui a toujours brandi avec fierté sa « dignité », sa « noblesse » pour tenir tête aux marabouts thiessois qui ont fait des pieds et des mains pour parvenir, en vain, à l’amener à faire le « premier pas » pour se « réconcilier » avec l’ancien Premier ministre, n’a pas perdu une seule seconde pour se plier, sans murmure ni hésitation, à la « demande » ou aux « ordres » du milliardaire lui demandant de se « lever gentiment pour aller serrer la main à ton grand frère Idrissa Seck ». Après quoi le maire de Thiès, est allé s’accroupir aux pieds du milliardaire, comme pour quémander une aumône.
« Talla Sylla est un ‘’comédien politique’’ qui ne gère que ses intérêts crypto-personnels, l’intérêt général est le cadet de ses soucis. Il se moque du développement de sa ville ». Cette remarque est d’un certain Saliou Faye, marchand ambulant, selon qui le leader du mouvement « Fal Askan Wi » est « quelqu’un qui n’est pas très apprécié à cause de ses défauts ». D’après la commerçante Ndèye Fatou Sy au marché Moussanté, « le maire de la Ville ne s’est jamais préoccupé de défendre Thiès ou de prendre en charge les préoccupations des Thiessois, à préserver les intérêts de la ville ».
Et nombre de citoyens dans la cité de penser que « l’erreur politique de Idrissa Seck a été de porter au pouvoir un Talla Sylla aussi versatile qu’impossible ». Ils rappellent les résultats catastrophiques de la majorité présidentielle lors des élections législatives du 30 juillet 2017. Des résultats qui ont même « frisé le ridicule » et ont fini de prouver « le manque de popularité du patron de ‘’Fal Askann Wi’’ aujourd’hui politiquement mort », et par delà, « le refus d’adhésion des Thiessois à sa politique. Ses résultats catastrophiques obtenus lors des élections législatives ont montré toutes ses limites » disent ces interlocuteurs. L’ex-patron de la « Jeunesse pour l’Alternance », président d’honneur de l’Alliance Jëf Jël et leader de « Fal Askann wi », qui se définit aujourd’hui comme « n’étant ni du pouvoir ni de l’opposition mais l’autre position », a été décrit par le 1er vice-président du conseil départemental de Thiès et secrétaire national à la vie politique du parti Rewmi, M. Yankhoba Diattara, comme un « traître pur-sang que Idrissa Seck a sorti de l’ombre. Un cadre politique mourant que l’on devait emmener au cimetière politique, mais qui a été ramassé à la dernière minute par le président de Rewmi »
Un pion sous les ordres du président Macky Sall
Un « pion sous les ordres du Président Macky Sall avec comme mandat de déstabiliser Idrissa Seck. Un pion qui avait acheté la carte du parti Rewmi pour pouvoir devenir maire de Thiès-Ville ». Un « homme fini, qui a échoué, n’a plus aucun avenir politique à Thiès, d’où son ralliement au Chef de l’Etat ». Les partisans de l’actuel président du conseil départemental sont d’avis que « Talla Sylla devrait suivre les traces, les pas de Idrissa Seck, pour continuer à travailler pour les Thiessois sur des projets structurants, des projets de développement en communion avec toutes les forces politiques de Thiès ». Malheureusement, se désolent les mêmes, « il n’a aujourd’hui aucun bilan à présenter aux Thiessois, il a échoué et aujourd’hui il ne peut que se réfugier derrière Macky Sall ». Ils se disent convaincus que « les résultats catastrophiques obtenus aux dernières élections législatives du 30 juillet 2017 par le maire de Thiès qui conduisait une liste à ce scrutin sont pour lui des signes avant-coureurs d’une fin pitoyable à la tête de l’institution municipale qu’il dirige. Ces résultats ont fini par montrer toutes ses limites ». Dans tous les cas, ces proches de l’ancien Premier ministre dénoncent une « volonté malsaine de Talla Sylla de se pérenniser à la tête de l’institution municipale » et regrettent « l’erreur politique de Idrissa Seck de l’avoir proposé à la tête de l’institution municipale ».
Chérif Diop, mécanicien, est au nombre de ceux-là. Selon lui, le fait d’avoir choisi Talla Sylla pour en faire un maire, « cela a été une ‘’faute’’ que le patron de Rewmi est en train de payer. Aujourd’hui Idrissa Seck paie les pots cassés de son manque de vision, en proposant aux Thiessois un Talla Sylla aussi versatile qu’impossible. Un maire qui s’est tristement illustré à travers une gestion gabégique de sa mairie, dans une ville qui, par un passé récent, a brillé par sa salubrité et qui, aujourd’hui, croule sous le poids des immondices. Un maire qui ne jouit pas de la confiance des Thiessois, qui n’attend que l’organisation des futures élections locales pour s’en aller, quitter Thiès qu’il a déjà vendue au Président Macky Sall ».
Retrouvailles de façade entre Idrissa Seck et Talla Sylla
Les opposants au maire de la ville rappellent les « retrouvailles de façade » entre Idrissa Seck et Talla Sylla lors de la cérémonie du 3e jour du rappel à Dieu de Sokhna Rougui Sy, mère d’Abdoulaye Diaw dit Baba, patron de Itoc, au quartier Malamine Senghor. Ce devant presque toute la République. Le milliardaire avait réussi à convaincre le président du parti Rewmi, Idrissa Seck, et le maire de la ville de Thiès, Talla Sylla, de se serrer la main en signe de « réconciliation ». Cette réconciliation avait d’autant plus courroucé les habitants de la ville-aux-deux-gares que le président du mouvement « Fal Askaan Wi » avait toujours opposé un « niet » catégorique aux marabouts de Thiès qui voulaient le réconcilier avec le président du conseil départemental. Les khalifes généraux de Keur Mame El Hadj, Serigne Mounirou Ndiéguene, et de Diamaguene Nimzath, Cheikh N’Hima Haïdara, ainsi que le représentant à Thiès du Khalife général des mourides, Serigne Saliou Touré, de même que l’association des fils de Cheikhs, entre autres chefs religieux de la ville de Thiès, avaient tous échoué dans leur médiation visant à réconcilier Talla Sylla avec Idrissa Seck.
Le président du mouvement « Fal Askaan Wi », qui a toujours brandi avec fierté sa « dignité », sa « noblesse » pour tenir tête aux marabouts thiessois qui ont fait des pieds et des mains pour parvenir, en vain, à l’amener à faire le « premier pas » pour se « réconcilier » avec l’ancien Premier ministre, n’a pas perdu une seule seconde pour se plier, sans murmure ni hésitation, à la « demande » ou aux « ordres » du milliardaire lui demandant de se « lever gentiment pour aller serrer la main à ton grand frère Idrissa Seck ». Après quoi le maire de Thiès, est allé s’accroupir aux pieds du milliardaire, comme pour quémander une aumône.