Toutefois, ont-elles poursuivi, « si le prétendu deal dont elle parle n’existerait que depuis son éviction du poste d'éventuelle présidente de l’assemblée nationale, dans ce second cas, comme nous nous en doutions, elle est très clairement l’un des chevaux de Troie de l’APR dans l’opposition. A vouloir charger le Parti démocratique sénégalais elle vient de révéler à travers sa logorrhée publiée sur les réseaux sociaux, qu’elle demeure le virus inoculé dans l’opposition pour diviser définitivement celle-ci ».
Ces femmes libérales ont cependant magnifié la mise en place d’une plateforme unitaire de l’opposition, non sans rejeter totalement la possibilité de partager un cadre d’actions avec l’ancien Premier ministre, Aminata Touré.