La sortie du leader de Pastef contre le dialogue national et ses acteurs ne passant pas trop, Abdoulaye Diouf Sarr décharge sa bile sur lui. Estimant que contrairement aux autres membres de l’opposition, l’ego passe avant les intérêts du pays chez Sonko, le Coordonnateur des cadres «apéristes» voit le président du PASTEF devenir «le guignol de la scène politique sénégalaise» à force de «buzz, de théâtralisation, d’enfantillages et de création d’événements imaginaires».
Quelle appréciation faites-vous du lancement du dialogue national et des concertations sur le processus électoral ?
Je constate que le président de la République, Macky Sall, vient de donner une formidable opportunité au Sénégal de se retrouver. Je me réjouis de cette initiative inclusive où tous les acteurs acceptent de se rencontrer pour échanger sur l’avenir du pays et de sa stabilité. Ce qui est formidable dans ce dialogue, c’est qu’il intervient juste après une élection présidentielle qui a consacré la brillante réélection du Président Macky Sall. Le chef de l’Etat n’était nullement obligé d’appeler au dialogue. Il faut que les gens sachent cela. Aucune situation ou contrainte particulière ne l’y obligent. Il a été élu avec une majorité plus que confortable qui lui donne les coudées franches pour dérouler allègrement sa feuille de route. Mais, comme c’est un homme de dialogue et de consensus, il a tenu à appeler tous les acteurs à des échanges sur les intérêts nationaux. C’est une initiative très louable qui renseigne une nouvelle fois sur les nobles desseins de cet homme pour le Sénégal. Voilà un Président qui ne veut pas de la gestion solitaire du pouvoir, raison pour laquelle il a appelé tous les fils de ce pays à participer à l’œuvre d’émergence nationale. Sans clivages aucun. C’est d’ailleurs pourquoi je félicite aussi l’opposition d’avoir accepté de venir échanger, s’asseoir avec le chef de l’Etat, autour des intérêts exclusifs du pays. Cela prouve la posture républicaine des leaders de l’opposition qui ont décidé de mettre en avant l’intérêt du Sénégal et des Sénégalais. Je salue également le démarrage des concertations sur le processus électoral qui seront présidées par le Général Mamadou Niang. Je magnifie la qualité des hommes qui ont été choisis pour organiser ces dialogues. D’abord, Famara Ibrahima Sagna, mais aussi le Général Mamadou Niang et d’autres personnalités qui sont des exemples et des modèles pour le Sénégal. Le fait de se retrouver, d’avoir un consensus sur les termes de référence et sur les personnalités qui doivent conduire le dialogue, est un pas très important dans la stabilisation de notre système démocratique.
Vos points de vue semblent contraires à celle du président du PASTEF qui a fait une sortie incendiaire contre le Président Macky Sall et son régime ?
Ce n’est pas une surprise. Ousmane Sonko fait du Ousmane Sonko. Il a encore fait preuve d’anti-valeur en insultant la République et la démocratie sénégalaise. Il n’a que l’insolence et l’arrogance à vendre aux Sénégalais. C’est dommage pour lui. C’est un spécialiste des accusations farfelues et des événements créés de toutes pièces. C’est une autre occasion pour faire le buzz et divertir les Sénégalais. Mais, il doit comprendre définitivement que l’heure n’est plus au buzz, à la théâtralisation, aux enfantillages et à la création d’événements imaginaires. L’heure est au travail. Les Sénégalais ont décidé de se donner la main pour travailler ensemble. Chez lui, son égo passe avant les intérêts supérieurs de la Nation. Donc s’il veut sortir du jeu en étant un singleton, il est libre de le faire, mais qu’il respecte les Sénégalais. Il est en passe de devenir le guignol de la scène politique sénégalaise.
Un éventuel report des élections locales est de plus en plus agité…
Présentement, tous les démocrates respectueux de la démocratie sont suspendus aux conclusions du dialogue. Parce que nous avons appelé à une dynamique inclusive. Nous sommes persuadés que ce qui sera retenu dans ce dialogue, sera un consensus et cela va permettre de rationaliser et de stabiliser la démocratie sénégalais.
Quelle appréciation faites-vous du lancement du dialogue national et des concertations sur le processus électoral ?
Je constate que le président de la République, Macky Sall, vient de donner une formidable opportunité au Sénégal de se retrouver. Je me réjouis de cette initiative inclusive où tous les acteurs acceptent de se rencontrer pour échanger sur l’avenir du pays et de sa stabilité. Ce qui est formidable dans ce dialogue, c’est qu’il intervient juste après une élection présidentielle qui a consacré la brillante réélection du Président Macky Sall. Le chef de l’Etat n’était nullement obligé d’appeler au dialogue. Il faut que les gens sachent cela. Aucune situation ou contrainte particulière ne l’y obligent. Il a été élu avec une majorité plus que confortable qui lui donne les coudées franches pour dérouler allègrement sa feuille de route. Mais, comme c’est un homme de dialogue et de consensus, il a tenu à appeler tous les acteurs à des échanges sur les intérêts nationaux. C’est une initiative très louable qui renseigne une nouvelle fois sur les nobles desseins de cet homme pour le Sénégal. Voilà un Président qui ne veut pas de la gestion solitaire du pouvoir, raison pour laquelle il a appelé tous les fils de ce pays à participer à l’œuvre d’émergence nationale. Sans clivages aucun. C’est d’ailleurs pourquoi je félicite aussi l’opposition d’avoir accepté de venir échanger, s’asseoir avec le chef de l’Etat, autour des intérêts exclusifs du pays. Cela prouve la posture républicaine des leaders de l’opposition qui ont décidé de mettre en avant l’intérêt du Sénégal et des Sénégalais. Je salue également le démarrage des concertations sur le processus électoral qui seront présidées par le Général Mamadou Niang. Je magnifie la qualité des hommes qui ont été choisis pour organiser ces dialogues. D’abord, Famara Ibrahima Sagna, mais aussi le Général Mamadou Niang et d’autres personnalités qui sont des exemples et des modèles pour le Sénégal. Le fait de se retrouver, d’avoir un consensus sur les termes de référence et sur les personnalités qui doivent conduire le dialogue, est un pas très important dans la stabilisation de notre système démocratique.
Vos points de vue semblent contraires à celle du président du PASTEF qui a fait une sortie incendiaire contre le Président Macky Sall et son régime ?
Ce n’est pas une surprise. Ousmane Sonko fait du Ousmane Sonko. Il a encore fait preuve d’anti-valeur en insultant la République et la démocratie sénégalaise. Il n’a que l’insolence et l’arrogance à vendre aux Sénégalais. C’est dommage pour lui. C’est un spécialiste des accusations farfelues et des événements créés de toutes pièces. C’est une autre occasion pour faire le buzz et divertir les Sénégalais. Mais, il doit comprendre définitivement que l’heure n’est plus au buzz, à la théâtralisation, aux enfantillages et à la création d’événements imaginaires. L’heure est au travail. Les Sénégalais ont décidé de se donner la main pour travailler ensemble. Chez lui, son égo passe avant les intérêts supérieurs de la Nation. Donc s’il veut sortir du jeu en étant un singleton, il est libre de le faire, mais qu’il respecte les Sénégalais. Il est en passe de devenir le guignol de la scène politique sénégalaise.
Un éventuel report des élections locales est de plus en plus agité…
Présentement, tous les démocrates respectueux de la démocratie sont suspendus aux conclusions du dialogue. Parce que nous avons appelé à une dynamique inclusive. Nous sommes persuadés que ce qui sera retenu dans ce dialogue, sera un consensus et cela va permettre de rationaliser et de stabiliser la démocratie sénégalais.