Alors qu'il est identifié à la Casamance, Ousmane Sonko a réclamé, depuis Mbacké, ce lien ''biologique'' avec la région naturelle du Baol que lui a octroyé sa mère née à Khombole. Le candidat à la Présidentielle refuse de revendiquer ainsi son statut de ''Baol-Baol '', avant d'exposer des arguments. ''Dieu a fait que ma mère est originaire de Khombole. Je suis un fils de Touba. Les populations m'ont adopté. Chefs religieux et disciples de tous âges m'ont intégré en leur sein. Vous m'aimez, mais je vous aime dix fois plus! ''
Et comme pour répondre à ceux qui s'interrogent sur son inclinaison religieuse qui serait jugée peu commode et en déphasage avec l'islam confrérique qui prévaut au Sénégal, Ousmane Sonko se voudra intraitable. '' Nous n'avons aucun complexe à montrer qu'on appartient à une religion. Nous ne faisons pas partie de ces hommes politiques qui ont peur de s'affirmer religieusement pour des raisons inavouées. C'est la religion qui nous permet de ne point dilapider les fonds publics (....) Elle nous inculque des valeurs que sont la droiture, la justesse... ''
Ousmane Sonko de s'en prendre au Président Macky Sall, invitant les populations à ne prêter aucune sorte d'attention à son programme et de lui demander à quel niveau d'exécution se situent les promesses qu'il avaient faites, jadis. S'estimant heureux d'avoir ''su garder les mains propres'', Sonko se félicitera de toujours échapper aux manigances et autres complots visant au salir sa peau . '' Macky a peur. Il n'ose même pas prononcer mon nom. Ils ont tout fait pour me polluer aux yeux des Sénégalais. Tout ce qu'il fomente contre moi à 8 heures se fissure avant 12 heures. Celui qui a dit que je combattais les chefs religieux, si nous étions amenés devant Cheikh Ahmadou Bamba pour lui demander de désigner entre nous deux celui qui est son disciple, c'est moi qui serais désigné par le Saint homme. Les dignitaires religieux se son battus pour installer la droiture dans ce pays et, en cela, je voudrais les perpétuer. Je ne suis pas un démagogue. Si devenir un Président exigeait de moi que je mente, j'abdiquerais (...).Toute personne qui veut développer le Sénégal devra nécessairement s'adosser sur les enseignements des chefs religieux de ce pays.
Avant d'annoncer aux populations ses aspirations pour le développement, l'ancien fonctionnaire de l'État fera part de sa ferme volonté d'éliminer le Hcct et le Cese, si jamais il venait à être élu et de mettre en lieu et place un organe consultatif des Chefs religieux où siégeraient ces derniers.
Avec Dakaractu
Et comme pour répondre à ceux qui s'interrogent sur son inclinaison religieuse qui serait jugée peu commode et en déphasage avec l'islam confrérique qui prévaut au Sénégal, Ousmane Sonko se voudra intraitable. '' Nous n'avons aucun complexe à montrer qu'on appartient à une religion. Nous ne faisons pas partie de ces hommes politiques qui ont peur de s'affirmer religieusement pour des raisons inavouées. C'est la religion qui nous permet de ne point dilapider les fonds publics (....) Elle nous inculque des valeurs que sont la droiture, la justesse... ''
Ousmane Sonko de s'en prendre au Président Macky Sall, invitant les populations à ne prêter aucune sorte d'attention à son programme et de lui demander à quel niveau d'exécution se situent les promesses qu'il avaient faites, jadis. S'estimant heureux d'avoir ''su garder les mains propres'', Sonko se félicitera de toujours échapper aux manigances et autres complots visant au salir sa peau . '' Macky a peur. Il n'ose même pas prononcer mon nom. Ils ont tout fait pour me polluer aux yeux des Sénégalais. Tout ce qu'il fomente contre moi à 8 heures se fissure avant 12 heures. Celui qui a dit que je combattais les chefs religieux, si nous étions amenés devant Cheikh Ahmadou Bamba pour lui demander de désigner entre nous deux celui qui est son disciple, c'est moi qui serais désigné par le Saint homme. Les dignitaires religieux se son battus pour installer la droiture dans ce pays et, en cela, je voudrais les perpétuer. Je ne suis pas un démagogue. Si devenir un Président exigeait de moi que je mente, j'abdiquerais (...).Toute personne qui veut développer le Sénégal devra nécessairement s'adosser sur les enseignements des chefs religieux de ce pays.
Avant d'annoncer aux populations ses aspirations pour le développement, l'ancien fonctionnaire de l'État fera part de sa ferme volonté d'éliminer le Hcct et le Cese, si jamais il venait à être élu et de mettre en lieu et place un organe consultatif des Chefs religieux où siégeraient ces derniers.
Avec Dakaractu