Selon Seydi Gassama, on ne peut pas parler de la bonne gouvernance politique et financière et en même temps donner des sommes d’argent à des élus qui les gèrent de façon discrétionnaire, sans rendre compte de cette gestion.
«L’idée même d’avoir cette caisse d’avance ne nous semble pas opportune parce que tout l’argent qui est destiné à cette caisse pour financer le social aurait pu faire l’objet d’une inscription dans le budget de la ville de Dakar pour être ensuite exécuté selon les règles en la matière», dit-il.
Le directeur d’Amnesty Sénégal invite également les citoyens à poser le débat pour que la majorité qui se dégagera à la sortie des élections législatives puisse légiférer sur l’utilisation de ces fonds.
«Toutefois, il ne faut pas se faire d’illusion, ce ne sont pas les partis politiques tels que le Parti socialiste, l’Alliance pour la république, l’Alliance pour les force du progrès ou encore le Parti démocratique sénégalais qui vont porter le combat pour la réglementation de ces fonds politiques car tous leurs dirigeants ont profité de ces fonds» juge-t-il.
«L’idée même d’avoir cette caisse d’avance ne nous semble pas opportune parce que tout l’argent qui est destiné à cette caisse pour financer le social aurait pu faire l’objet d’une inscription dans le budget de la ville de Dakar pour être ensuite exécuté selon les règles en la matière», dit-il.
Le directeur d’Amnesty Sénégal invite également les citoyens à poser le débat pour que la majorité qui se dégagera à la sortie des élections législatives puisse légiférer sur l’utilisation de ces fonds.
«Toutefois, il ne faut pas se faire d’illusion, ce ne sont pas les partis politiques tels que le Parti socialiste, l’Alliance pour la république, l’Alliance pour les force du progrès ou encore le Parti démocratique sénégalais qui vont porter le combat pour la réglementation de ces fonds politiques car tous leurs dirigeants ont profité de ces fonds» juge-t-il.