Le cercle des intellectuels Soufis, pas du tout convaincu du reportage de la BBC, accorde un bénéfice du doute à Aliou Sall, en attendant la manifestation de la vérité. Le cercle se compatit à la douloureuse épreuve politique, que confronte actuellement monsieur Aliou Sall, face aux maux de la calomnie, des potins politiques et de la médisance.
Loin de chercher à disculper Monsieur Aliou Sall, le cercle des intellectuels soufis, ne porte aucun crédit à ses fantasmagories de 6000 milliards.
Le cercle ne connais pas Aliou Sall, ne bénéficie pas des largesses de son frangin de président, mais en tant que des hommes libres très attachés aux principes moraux qui ne transigent jamais sur des principes et des convictions, nous ne pourrons être rameutés par des sirènes de déstabilisation déclenchées par des puissances étrangères.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Le débat sur les ressources hydrocarbures est infect ! Les discours incendiaires deviennent des armes au service d'intérêts politiques. Ces discours de haine embrassent le Sénégal, les réseaux sociaux sont exploités pour véhiculer la dissidence et le sectarisme. L'horreur se produirait inévitablement quand on laisse trop longtemps la haine virulente faire rage sans y résister.
Maintenant le cercle entend observer une période de silence sur la gouvernance politique de Macky Sall, aussi troublante soit-elle et de ne faire non plus aucun commentaire sur la situation politique du Sénégal aussi instable fut-elle.
Le président Sall, se sépare de ses totems, repêche des naufragés sans boussole politique, et met en selle des gugusses et pitres de plateaux tv, qui indiquent toujours le mauvais sens politique.
Le cercle ne défend pas M. Sall, et ne cherche pas à se rapprocher de lui, mais pense que ce dernier subit les méchancetés politiques intrinsèques au jeu de massacre qui domine l'arène politique.
Il subit les contrecoups politique à cause des errements politiques et arrestations tout-azimut, procédé par son frangin de président, qui, cherchait à neutraliser des adversaires.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Voltaire disait : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. » Il a juré sur le Coran je lui ai accordé le bénéfice du doute.
Les soufis du cercle des intellectuels soufis, refusent d'être des complices inconscients ou des idiots utiles des plans de déchirures sociales et schémas de déstabilisation concoctés dans des officines étrangères.
Mais la contre-performance des analyses politiques du président de la République ce n'est pas un atout positif.
Serigne Fallou Dieng
Loin de chercher à disculper Monsieur Aliou Sall, le cercle des intellectuels soufis, ne porte aucun crédit à ses fantasmagories de 6000 milliards.
Le cercle ne connais pas Aliou Sall, ne bénéficie pas des largesses de son frangin de président, mais en tant que des hommes libres très attachés aux principes moraux qui ne transigent jamais sur des principes et des convictions, nous ne pourrons être rameutés par des sirènes de déstabilisation déclenchées par des puissances étrangères.
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Maintenant le cercle entend observer une période de silence sur la gouvernance politique de Macky Sall, aussi troublante soit-elle et de ne faire non plus aucun commentaire sur la situation politique du Sénégal aussi instable fut-elle.
Le président Sall, se sépare de ses totems, repêche des naufragés sans boussole politique, et met en selle des gugusses et pitres de plateaux tv, qui indiquent toujours le mauvais sens politique.
Le cercle ne défend pas M. Sall, et ne cherche pas à se rapprocher de lui, mais pense que ce dernier subit les méchancetés politiques intrinsèques au jeu de massacre qui domine l'arène politique.
Il subit les contrecoups politique à cause des errements politiques et arrestations tout-azimut, procédé par son frangin de président, qui, cherchait à neutraliser des adversaires.
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Les soufis du cercle des intellectuels soufis, refusent d'être des complices inconscients ou des idiots utiles des plans de déchirures sociales et schémas de déstabilisation concoctés dans des officines étrangères.
Mais la contre-performance des analyses politiques du président de la République ce n'est pas un atout positif.
Serigne Fallou Dieng