Des scènes de guerillas se sont déroulées dans la ville de Guédiawaye. Des jeunes du GP ont tenté de bloquer la circulation sur des axes stratégiques. La police les a dispersés et en a arrêtés dix.
Samedi soir, le responsable des jeunes du GP à Guédiawaye a été arrêté par la police parce qu'il détiendrait de faux certificats de résidence.
Selon un responsable du Grand Parti, ces certificats ne sont pas des faux car étant délivrés par l'officier d'Etat civil du centre Roi Baudouin.
"Mor Diaw, le coordonnateur départemental des jeunes de Guédiawaye est accusé d’avoir détenu des résidences fausses pour inscrire des personnes.La vérité est que les résidences en questions ont bel et bien été signées par l’officier Ablaye Diop Gothé de Sam notaire. Celui-ci a été convoqué pour confirmer sa signature et il dit être absent de Dakar et ne se présentera que demain. Monsieur Licka Ba qui a accusé Mor Diaw est le responsable de l’Apr a Sam notaire, fief du président Gakou. Il a lui-même distribué à tous leurs responsables des résidences signés pour qu'ils remplissent eux même les résidences pour s’inscrire", indique ce responsable qui a requis l'anonymat.
En gros, douze jeunes du GP sont détenus à la police au moment où ces lignes sont écrites.
Samedi soir, le responsable des jeunes du GP à Guédiawaye a été arrêté par la police parce qu'il détiendrait de faux certificats de résidence.
Selon un responsable du Grand Parti, ces certificats ne sont pas des faux car étant délivrés par l'officier d'Etat civil du centre Roi Baudouin.
"Mor Diaw, le coordonnateur départemental des jeunes de Guédiawaye est accusé d’avoir détenu des résidences fausses pour inscrire des personnes.La vérité est que les résidences en questions ont bel et bien été signées par l’officier Ablaye Diop Gothé de Sam notaire. Celui-ci a été convoqué pour confirmer sa signature et il dit être absent de Dakar et ne se présentera que demain. Monsieur Licka Ba qui a accusé Mor Diaw est le responsable de l’Apr a Sam notaire, fief du président Gakou. Il a lui-même distribué à tous leurs responsables des résidences signés pour qu'ils remplissent eux même les résidences pour s’inscrire", indique ce responsable qui a requis l'anonymat.
En gros, douze jeunes du GP sont détenus à la police au moment où ces lignes sont écrites.