Le Sénégal doit choisir le successeur du président Macky Sall avant le 2 avril prochain. L’Église reste ferme sur cette position. «Nous pensons qu’il est important de poursuivre le processus (électoral, ndrl). Il peut arriver des erreurs, mais elles ne doivent pas remettre en cause ce qui a été fait. C’est pourquoi nous demandons que le processus soit poursuivi. Nous voulons aussi la tenue des élections avant le 2 avril 2024. C’est bien possible. Le processus a été engagé. Si on s’entend sur le principe, nous devons nous donner les éléments pour y aller», a dit le président du Conseil national du laïcat du Sénégal, Philippe Abraham Tine.
Faisant part toujours de la position de l’Église, à l’ouverture du dialogue national d’hier, lundi 26 février 2024, il a soutenu : «le temps nous est compté. Si nous voulons vraiment conserver notre image de vitrine de la démocratie en Afrique, nous devons respecter nos institutions. Si nous ne respections pas le président de la République, nous ne pouvons pas appeler les autres à le faire. Si nous sommes les premiers à cracher sur le Conseil constitutionnel, que d’autres qui appartiennent à d’autres sphères insultent nos Institutions».
Pour le président du Conseil national du laïcat du Sénégal, le Sénégal doit dépasser ce statuquo politique. «Le report des élections a contribué à fragiliser notre stabilité sociale qui était déjà éprouvée depuis 2021. Il est attendu que ce dialogue propose des solutions viables, salutaires pour le bien de notre nation. Le monde entier nous observe, nous écoute et attend de voir comment le génie sénégalais parviendra encore à éviter que notre barque ne coule», espère Philippe Abraham Tine.
Faisant part toujours de la position de l’Église, à l’ouverture du dialogue national d’hier, lundi 26 février 2024, il a soutenu : «le temps nous est compté. Si nous voulons vraiment conserver notre image de vitrine de la démocratie en Afrique, nous devons respecter nos institutions. Si nous ne respections pas le président de la République, nous ne pouvons pas appeler les autres à le faire. Si nous sommes les premiers à cracher sur le Conseil constitutionnel, que d’autres qui appartiennent à d’autres sphères insultent nos Institutions».
Pour le président du Conseil national du laïcat du Sénégal, le Sénégal doit dépasser ce statuquo politique. «Le report des élections a contribué à fragiliser notre stabilité sociale qui était déjà éprouvée depuis 2021. Il est attendu que ce dialogue propose des solutions viables, salutaires pour le bien de notre nation. Le monde entier nous observe, nous écoute et attend de voir comment le génie sénégalais parviendra encore à éviter que notre barque ne coule», espère Philippe Abraham Tine.