L’ancien parlementaire et membre de la majorité estime que cette jurisprudence risque de déboucher sur l’arrêt de tous les procès en cours et la libération immédiate de tous les condamnés » qui n’ont pas bénéficié de ces dispositions.
Entrée en vigueur le 25 septembre 2014, celles-ci exigent que les prévenus soient assistés d’un avocat dès la garde-à-vue. « Aucun procès ne peut plus se tenir si lors de l’enquête la Gendarmerie, la police ou le procureur ne respectent pas le règlement n° 05, en faveur des prévenus », note Moustapha Diakhaté sur sa page Facebook.