Le rapport d’Amnesty 2016-2016 n’a pas été tendre avec le Sénégal. En effet, l’ONG des droits humains cloue au pilori notre pays et l’accuse d’avoir violé la liberté d’expression et de réunion pacifique. En sus, le rapport fait du surpeuplement des prisons. Les forces de sécurité ne sont pas épargnées parce que, selon le rapport, plusieurs agents de police sont reconnus coupables d’homicides illégaux et jouissent de la protection de la hiérarchie. La mort récente non encore élucidée d’Elimane Touré, cet agent du port de Dakar, au commissariat du Môle 2, enfonce la police sénégalaise. Et ce, malgré le rapport d'autopsie qui a conclu à une mort par pendaison comme l'avait déjà prédite le porte-parole de la police Henri Boumy Ciss.
Mais Amnesty dénonce le fait qu’au Sénégal des hommes et des femmes soient arrêtés en raison de leur orientation sexuelle réelle ou supposée. La mendicité des enfants a été ciblée par le rapport de l’ONG des droits humains, pour qui, malgré des initiatives visant à réduire la mendicité des enfants dans la rue, l’Etat continue de protéger les maîtres coraniques qui exploitent et maltraitent les enfants.
Mais Amnesty dénonce le fait qu’au Sénégal des hommes et des femmes soient arrêtés en raison de leur orientation sexuelle réelle ou supposée. La mendicité des enfants a été ciblée par le rapport de l’ONG des droits humains, pour qui, malgré des initiatives visant à réduire la mendicité des enfants dans la rue, l’Etat continue de protéger les maîtres coraniques qui exploitent et maltraitent les enfants.