(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Pour Racine Talla, «il y a beaucoup à dire sur la pratique de notre métier (journalisme : ndlr) au Sénégal». Le directeur général de la chaîne publique RTS, sermonne ainsi les associations de presse au lendemain de leurs visites effectuées auprès des autorités religieuses du pays pour lister leurs maux.
«C’est bien d’aller voir les autorités religieuses et coutumières, mais à mon avis, on doit se parler entre nous, avant tout, sans mettre de gants», martèle-t-il dans le quotidien L’Observateur de ce lundi. Racine Talla d’émettre quelques réserves sur l’adoption du code de la presse tant réclamée par la corporation des journalistes.
«Demander l’adoption du code de la presse, c’est comme enfoncer une porte ouverte», renchérit-il, non sans préciser que «le code sera adopté, mais il faut bien sûr qu’on accepte d’en appliquer les dispositions». Pour ce qui est de la publicité, pense-t-il, «l’Etat doit certes réglementer la publicité et même délester le secteur public au profit des médias privés mais l’annonceur restera toujours le maître du jeu», relativise le Dg de la RTS.
«C’est bien d’aller voir les autorités religieuses et coutumières, mais à mon avis, on doit se parler entre nous, avant tout, sans mettre de gants», martèle-t-il dans le quotidien L’Observateur de ce lundi. Racine Talla d’émettre quelques réserves sur l’adoption du code de la presse tant réclamée par la corporation des journalistes.
«Demander l’adoption du code de la presse, c’est comme enfoncer une porte ouverte», renchérit-il, non sans préciser que «le code sera adopté, mais il faut bien sûr qu’on accepte d’en appliquer les dispositions». Pour ce qui est de la publicité, pense-t-il, «l’Etat doit certes réglementer la publicité et même délester le secteur public au profit des médias privés mais l’annonceur restera toujours le maître du jeu», relativise le Dg de la RTS.