Plus jeune candidat à l’élection présidentielle de février 2019, Ousmane Sonko est l’exemple type de la politique autrement théorisée par plusieurs acteurs. Le leader de PASTEF/LES PATRIOTES s’est montré incontournable sur la scène politique sénégalais après seulement cinq années d’existence de son parti.
Son ascension fulgurante est le fruit d’un combat porté au plus haut sommet de l’administration sénégalaise avec comme leitmotiv la dénonciation des tares du régime du Président sortant. A lui seul, il a su tenir tête à l’escadron communicationnel des tenants du pouvoir durant la période préélectorale.
Pur produit de l’école sénégalaise, Ousmane Sonko porte les instruments de la rupture pour une vision d'un Sénégal qui prend son destin en main. Une approche de la politique différente de celle connue jusqu’ici au Sénégal qui fait de lui un « miraculé » chez la nouvelle génération d’intellectuelle. Certains l’assimilent même à Thomas Sankara du fait de son nationalisme.
Avec un programme politique bâti autour du patriotisme, la bonne gouvernance, la justice sociale et la sécurité, Sonko veut briser le cycle d’échecs et de déceptions imposé par un système pendant plus de la moitié d’un siècle. C’est pour cela, déclare-t-il, lors de son message d’ouverture de la campagne électorale « vouloir tourner définitivement la page d’une séquence de l’histoire multiséculaire de notre Nation pour amorcer, comme un seul Peuple, une nouvelle trajectoire qui doit nous mener vers un avenir rassurant pour le Sénégal ».
Très en verve durant cette campagne pour la présidentielle, Sonko est en bonne posture pour rivaliser avec les candidats au sommet à l’image d’Idrissa Seck et de Macky Sall avec à son avantage l’électorat jeune et la diaspora.
Par Amadou Demba Lo
Son ascension fulgurante est le fruit d’un combat porté au plus haut sommet de l’administration sénégalaise avec comme leitmotiv la dénonciation des tares du régime du Président sortant. A lui seul, il a su tenir tête à l’escadron communicationnel des tenants du pouvoir durant la période préélectorale.
Pur produit de l’école sénégalaise, Ousmane Sonko porte les instruments de la rupture pour une vision d'un Sénégal qui prend son destin en main. Une approche de la politique différente de celle connue jusqu’ici au Sénégal qui fait de lui un « miraculé » chez la nouvelle génération d’intellectuelle. Certains l’assimilent même à Thomas Sankara du fait de son nationalisme.
Avec un programme politique bâti autour du patriotisme, la bonne gouvernance, la justice sociale et la sécurité, Sonko veut briser le cycle d’échecs et de déceptions imposé par un système pendant plus de la moitié d’un siècle. C’est pour cela, déclare-t-il, lors de son message d’ouverture de la campagne électorale « vouloir tourner définitivement la page d’une séquence de l’histoire multiséculaire de notre Nation pour amorcer, comme un seul Peuple, une nouvelle trajectoire qui doit nous mener vers un avenir rassurant pour le Sénégal ».
Très en verve durant cette campagne pour la présidentielle, Sonko est en bonne posture pour rivaliser avec les candidats au sommet à l’image d’Idrissa Seck et de Macky Sall avec à son avantage l’électorat jeune et la diaspora.
Par Amadou Demba Lo