Méconnu du grand public il y a quelques années, Issa Sall et le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) occupent une place de choix sur l’échiquier politique sénégalais. Sorti quatrième, le PUR a été la grosse surprise des dernières joutes électorales.
Investi sur la base d’un programme politique accès sur le développement intégré et intégrale, le professeur Issa Sall est le plus singulier des cinq candidats à la présidentielle. Il ne fait parti d’aucune coalition ou alliance et pourtant il est sorti premier au parrainage. Un succès qui est sans doute le résultat d’une structuration sans équivoque de son parti bâti sur le slogan « VERITE ».
Sa candidature, précise-t-il, dans le premier journal de la campagne électorale, « résulte d’un constat d’échec d’un système politique qui a cours dans notre pays depuis notre accession à la souveraineté internationale ».
Issa Sall n’est pourtant pas un novice en politique. Il est sorti de l’école du Parti socialiste qu’il a dû quitter pour voler de ses propres ailes. Avec un parti à soubassement religieux, il se distingue des autres candidats par un discours mettant en avant les valeurs morales, la justice, l’entre-aide et le développement.
Son statut d’homme politique qui n’a jamais bénéficié des avantages du système fait qu’Issa Sall s’est auto proclamé l’ « homme neuf », le pur-sang partout où sa caravane passe.
Représentatif dans les 14 régions du Sénégal, le PUR à défaut de pouvoir accéder à la magistrature suprême se constituera en faiseur de roi en cas d’une élection à deux tours.
Par Amadou Demba Lo
Investi sur la base d’un programme politique accès sur le développement intégré et intégrale, le professeur Issa Sall est le plus singulier des cinq candidats à la présidentielle. Il ne fait parti d’aucune coalition ou alliance et pourtant il est sorti premier au parrainage. Un succès qui est sans doute le résultat d’une structuration sans équivoque de son parti bâti sur le slogan « VERITE ».
Sa candidature, précise-t-il, dans le premier journal de la campagne électorale, « résulte d’un constat d’échec d’un système politique qui a cours dans notre pays depuis notre accession à la souveraineté internationale ».
Issa Sall n’est pourtant pas un novice en politique. Il est sorti de l’école du Parti socialiste qu’il a dû quitter pour voler de ses propres ailes. Avec un parti à soubassement religieux, il se distingue des autres candidats par un discours mettant en avant les valeurs morales, la justice, l’entre-aide et le développement.
Son statut d’homme politique qui n’a jamais bénéficié des avantages du système fait qu’Issa Sall s’est auto proclamé l’ « homme neuf », le pur-sang partout où sa caravane passe.
Représentatif dans les 14 régions du Sénégal, le PUR à défaut de pouvoir accéder à la magistrature suprême se constituera en faiseur de roi en cas d’une élection à deux tours.
Par Amadou Demba Lo