Il y a de plus en plus d'électricité dans l’air, ce mardi. Le procès de Khalifa Sall, loin de toute sérénité s’enlise et prend une tournure pour le moins inquiétante.
A la reprise, les incidents d’audience se sont multipliés. Le président du tribunal est courroucé par les interventions intempestives de l'agent judiciaire de l'Etat, de la défense et des avocats de la Mairie de Dakar, notamment Me El Hadji Diouf.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Face à la demande de l'agent judiciaire de ne pas donner la parole au représentant de la municipalité de Dakar, Me Diouf a manifesté vigoureusement son refus. Au bout du compte, il a obtenu satisfaction permettant au juge de différer le débat sur la recevabilité ou non de la constitution de la Mairie de Dakar en tant que partie civile au procès de son Maire. «Nous nous opposons à ce que la parole soit donnée à un représentant de la municipalité de Dakar ou à un avocat», a demandé Antoine Diome.
Ce qui n'a pas été du goût des avocats de Khalifa Sall qui n'ont pas tardé à manifester ouvertement leur opposition. La tension déjà perceptible depuis la reprise de l’audience est montée d’un cran et un méli-mélo s’est installé. Il aura fallu l'intervention du juge Lamotte pour faire revenir la défense et l'agent judiciaire à de meilleurs sentiments...
Avec Dakaractu
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A la reprise, les incidents d’audience se sont multipliés. Le président du tribunal est courroucé par les interventions intempestives de l'agent judiciaire de l'Etat, de la défense et des avocats de la Mairie de Dakar, notamment Me El Hadji Diouf.
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Ce qui n'a pas été du goût des avocats de Khalifa Sall qui n'ont pas tardé à manifester ouvertement leur opposition. La tension déjà perceptible depuis la reprise de l’audience est montée d’un cran et un méli-mélo s’est installé. Il aura fallu l'intervention du juge Lamotte pour faire revenir la défense et l'agent judiciaire à de meilleurs sentiments...
Avec Dakaractu
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