Les poètes Marouba Fall et Pape Sada Anne ont été primés à l’occasion de la troisième édition du Prix international de poésie « Sur les traces de Léopold Sédar Senghor » organisé par l’association Africa Solidarité (Onlus), à Milan. Au cours d’un point de presse, les lauréats sont revenus sur cette reconnaissance.
Quelques inspirés vers d’une poésie « galvanique », déclamés en wolof et en français, indiquent qu’il s’agit bien là d’une assemblée où le verbe atteint les cœurs et domine les esprits. Les écrits ont révélé Marouba Fall et Pape Sada Anne comme des génies poétiques et la parole, celle de leurs proches et des gens de leur univers d’expression, les a célébrés devant une assistance concernée et heureuse de les voir rehausser la fierté de toute une Nation. Celle qu’ils peuvent en tirer est tout aussi légitime et grande.
Marouba Fall, célèbre écrivain, a obtenu le premier prix de la section C réservée à la poésie inédite de langue française grâce à son poème « Chant pour Madiba ». La troisième édition du Prix international de poésie « Sur les traces de Senghor » comporte, en effet, une section réservée à la poésie de langue italienne et une autre dénommée C. Celle-ci est consacrée à la poésie inédite de langue française. Elle a enregistré plus de 500 candidatures à travers le monde francophone.
L’auteur du roman « La collégienne » rend hommage dans ce poème primé à la figure emblématique sud-africaine, Nelson Mandela. Il est « situé entre l’éloge funèbre et le discours politique », dit-il non sans s’arrêter sur la contribution importante de la Direction du livre et de la lecture du ministère sénégalais de la Culture. Celui qui en est le directeur, Ibrahima Lô, estime que cette consécration constitue un espoir pour les Lettres sénégalaises qui sont au cœur des préoccupations des autorités publiques. Les efforts qu’elles ont entrepris depuis quelques temps en sont un témoignage.
Pape Sada Anne, lui, a été récompensé du troisième prix grâce à son poème « Liberté ». La liberté y est présentée comme un personnage qu’il « apostrophe et magnifie à travers des images évocatrices ». Le lauréat est un membre actif du bureau du Cercle des écrivains et poètes de Saint-Louis. Il est également l’auteur d’un nouveau recueil de poèmes intitulé « Lumière des Saints ».
Cette plume du Nord ne compte pas s’arrêter en si bon chemin : « Ce n’était pas évident avec le nombre de participants. Ce qui en rajoute à ma fierté. Au-delà de nos personnes, nous représentions la créativité, le génie de tout un peuple ». Que l’inspiration ne les quitte jamais !
Quelques inspirés vers d’une poésie « galvanique », déclamés en wolof et en français, indiquent qu’il s’agit bien là d’une assemblée où le verbe atteint les cœurs et domine les esprits. Les écrits ont révélé Marouba Fall et Pape Sada Anne comme des génies poétiques et la parole, celle de leurs proches et des gens de leur univers d’expression, les a célébrés devant une assistance concernée et heureuse de les voir rehausser la fierté de toute une Nation. Celle qu’ils peuvent en tirer est tout aussi légitime et grande.
Marouba Fall, célèbre écrivain, a obtenu le premier prix de la section C réservée à la poésie inédite de langue française grâce à son poème « Chant pour Madiba ». La troisième édition du Prix international de poésie « Sur les traces de Senghor » comporte, en effet, une section réservée à la poésie de langue italienne et une autre dénommée C. Celle-ci est consacrée à la poésie inédite de langue française. Elle a enregistré plus de 500 candidatures à travers le monde francophone.
L’auteur du roman « La collégienne » rend hommage dans ce poème primé à la figure emblématique sud-africaine, Nelson Mandela. Il est « situé entre l’éloge funèbre et le discours politique », dit-il non sans s’arrêter sur la contribution importante de la Direction du livre et de la lecture du ministère sénégalais de la Culture. Celui qui en est le directeur, Ibrahima Lô, estime que cette consécration constitue un espoir pour les Lettres sénégalaises qui sont au cœur des préoccupations des autorités publiques. Les efforts qu’elles ont entrepris depuis quelques temps en sont un témoignage.
Pape Sada Anne, lui, a été récompensé du troisième prix grâce à son poème « Liberté ». La liberté y est présentée comme un personnage qu’il « apostrophe et magnifie à travers des images évocatrices ». Le lauréat est un membre actif du bureau du Cercle des écrivains et poètes de Saint-Louis. Il est également l’auteur d’un nouveau recueil de poèmes intitulé « Lumière des Saints ».
Cette plume du Nord ne compte pas s’arrêter en si bon chemin : « Ce n’était pas évident avec le nombre de participants. Ce qui en rajoute à ma fierté. Au-delà de nos personnes, nous représentions la créativité, le génie de tout un peuple ». Que l’inspiration ne les quitte jamais !