Elle se signale dès 2011 à travers un entretien concédé au quotidien Walfadjri où elle déclarait que le Ps n’avait pas de « candidat naturel » pour 2012. Les plus avertis savaient dès lors que la robe noire marchait sur les plates-bandes de Ousmane Tanor Dieng.
A l’occasion du congrès socialiste de 2014, elle attache le grelot face à Tanor et manque un premier rendez-vous avec « l’avenir ». Quelque temps après, sa victoire, de justesse, sur le magnat Racine Sy la remet sur l’orbite de la gloire à Podor.
A la veille du référendum de 2016, la dame de fer, selon les sources de « Dakaractu », a cherché à créer une formation politique, pour avoir tenu plusieurs rencontres avec des leaders de « petits partis » dans ce sens, avant de finir par mettre sur pied un mouvement, fort médiatisé, en avril 2017.
Elle monte un embryon de coalition, dénommée Initiatives 2017, avec Cheikh Bamba Dièye quelques jours plus tard. Ladite coalition devait leur servir de tremplin pour les Législatives, mais la dynamique unitaire des St-Louisiens fait long feu. La mairesse de Podor a même préfacé le livre du leader du Fsd / Bj avant de briller par son absence au moment de la cérémonie de dédicace. Entre temps, Bamba Dièye, par une pirouette spectaculaire, a rejoint Manko Taxawu Senegaal, prenant à contre-pied Me Aïssata Tall Sall.
Qu’à cela ne tienne, la célèbre avocate participe aux Législatives sous la bannière de la coalition « Osez l’Avenir » et, au finish, se retrouve avec un score extrêmement faible. Même pas 1 % des suffrages.
Les gorges profondes l’ont accusée durant la campagne de s’être joué de la rivalité entre responsables de l’Apr au Fouta pour tirer profit du soutien, sur tous les plans, du milliardaire Harouna Dia, alter ego de Farba Ngom.
Vrai ou faux, il demeure évident que Me Aïssata Tall Sall, qui conserve son siège de député, devra ménager sa monture si elle est désireuse de se présenter à la présidentielle de 2019.
Dakaractu
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A l’occasion du congrès socialiste de 2014, elle attache le grelot face à Tanor et manque un premier rendez-vous avec « l’avenir ». Quelque temps après, sa victoire, de justesse, sur le magnat Racine Sy la remet sur l’orbite de la gloire à Podor.
A la veille du référendum de 2016, la dame de fer, selon les sources de « Dakaractu », a cherché à créer une formation politique, pour avoir tenu plusieurs rencontres avec des leaders de « petits partis » dans ce sens, avant de finir par mettre sur pied un mouvement, fort médiatisé, en avril 2017.
Elle monte un embryon de coalition, dénommée Initiatives 2017, avec Cheikh Bamba Dièye quelques jours plus tard. Ladite coalition devait leur servir de tremplin pour les Législatives, mais la dynamique unitaire des St-Louisiens fait long feu. La mairesse de Podor a même préfacé le livre du leader du Fsd / Bj avant de briller par son absence au moment de la cérémonie de dédicace. Entre temps, Bamba Dièye, par une pirouette spectaculaire, a rejoint Manko Taxawu Senegaal, prenant à contre-pied Me Aïssata Tall Sall.
Qu’à cela ne tienne, la célèbre avocate participe aux Législatives sous la bannière de la coalition « Osez l’Avenir » et, au finish, se retrouve avec un score extrêmement faible. Même pas 1 % des suffrages.
Les gorges profondes l’ont accusée durant la campagne de s’être joué de la rivalité entre responsables de l’Apr au Fouta pour tirer profit du soutien, sur tous les plans, du milliardaire Harouna Dia, alter ego de Farba Ngom.
Vrai ou faux, il demeure évident que Me Aïssata Tall Sall, qui conserve son siège de député, devra ménager sa monture si elle est désireuse de se présenter à la présidentielle de 2019.
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