Le Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA) et l’Office national de formation professionnelle (ONFP) ont signé ce vendredi un protocole de partenariat portant sur la formation, par la seconde structure, de 2000 personnes dans les zones frontalières.
"Avec ce protocole, nous avons pris l’engagement de former 2000 personnes des zones frontalières du Sénégal dans les 220 communes couvertes par le PUMA", a expliqué le directeur général de l’ONFP, Sanoussi Diakité.
Les deux parties ambitionnent de permettre aux bénéficiaires d’ « acquérir les compétences à produire et à mener des activités productives selon les normes et de générer des revenus substantiels ».
Il s’agit notamment des techniques d’entretien et de réparation des équipements d’allègement des travaux des femmes, ainsi que la conduite d’engins. La gestion des fermes agricoles, la gestion et l’élevage des petits ruminants, la transformation agroalimentaire, les compétences en matière de BTP font également partie des domaines ciblés.
Le coordonnateur du PUMA, Moussa Sow, préconise la mutualisation et l’harmonisation des interventions entre les différents programmes de l’Etat, pour "une plus grande efficacité" dans leur mise en œuvre.
Il rappelle également que le PUMA «est un programme conçu par les pouvoirs publics pour corriger les inégalités notées dans les zones frontalières et matérialisées par l’enclavement, le niveau élevé du taux de pauvreté et l’accès limité aux services sociaux de base».
Aussi le PUMA, à travers ses différentes composantes, prévoit, selon son coordonnateur de « réaliser sur une période de neuf ans, 14966 infrastructures et équipements" dans des secteurs tels que le transport, l’éducation, la santé, l’électrification et la sécurité.
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"Avec ce protocole, nous avons pris l’engagement de former 2000 personnes des zones frontalières du Sénégal dans les 220 communes couvertes par le PUMA", a expliqué le directeur général de l’ONFP, Sanoussi Diakité.
Les deux parties ambitionnent de permettre aux bénéficiaires d’ « acquérir les compétences à produire et à mener des activités productives selon les normes et de générer des revenus substantiels ».
Il s’agit notamment des techniques d’entretien et de réparation des équipements d’allègement des travaux des femmes, ainsi que la conduite d’engins. La gestion des fermes agricoles, la gestion et l’élevage des petits ruminants, la transformation agroalimentaire, les compétences en matière de BTP font également partie des domaines ciblés.
Le coordonnateur du PUMA, Moussa Sow, préconise la mutualisation et l’harmonisation des interventions entre les différents programmes de l’Etat, pour "une plus grande efficacité" dans leur mise en œuvre.
Il rappelle également que le PUMA «est un programme conçu par les pouvoirs publics pour corriger les inégalités notées dans les zones frontalières et matérialisées par l’enclavement, le niveau élevé du taux de pauvreté et l’accès limité aux services sociaux de base».
Aussi le PUMA, à travers ses différentes composantes, prévoit, selon son coordonnateur de « réaliser sur une période de neuf ans, 14966 infrastructures et équipements" dans des secteurs tels que le transport, l’éducation, la santé, l’électrification et la sécurité.
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