(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); La vente de "fondé", de "thiakry", de "laax" et de couscous sénégalais, autant de mets faits à base de mil et de lait, fait aujourd'hui partie du décor des rues des Parcelles assainies, dans la banlieue dakaroise. Dans un reportage effectué dans cette commune, le journal le Témoin indique qu'à l'intérieur des concessions jusqu'au marché Dior en passant par la boulangerie Mandela, les vendeuses de ces mets font des affaires avec ce petit commerce "très rentable" selon elles.
En cette période de crise, ces repas, informe le journal, sont pris d'assaut par une clientèle séduite par la modicité de leurs prix. Une clientèle, informe-t-on, qui a développé un véritable système de débrouille pour s'en sortir.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
En cette période de crise, ces repas, informe le journal, sont pris d'assaut par une clientèle séduite par la modicité de leurs prix. Une clientèle, informe-t-on, qui a développé un véritable système de débrouille pour s'en sortir.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});